D'où vient la Vie sur Terre?
SOMMES-NOUS TOUS
DES EXTRA-TERRESTRES?

"DIEU créa l'être humain à Son Image, Il le créa à l'Image de Dieu, Il créa l'homme et la femme." (Bible - Genèse I, 27.)
Selon de récentes découvertes scientifiques en génétique, la vie sur Terre serait d'origine "étrangère". Et d'après des informations codées dans les passages de certains écrits bibliques, elle serait même "extra-terrestre". Quid?
Introduction
Dans son livre «Les Pèlerins du Cosmos», l’écrivain Jean Choisel, (1921-2001), pionnier, dans les années soixante et soixante-dix, de l’écologie et même de l’ufologie, après avoir rédigé la première partie de son ouvrage, consacrée aux extra-terrestres et intitulée «Les extra-terrestres et nous», appela la deuxième partie de son livre (paru en 1974): «Nous, les extra-terrestres».
A l’époque, il le voyait surtout d’un point de vue spirituel, puisque la deuxième partie du livre décrit principalement le périple cosmique de l’esprit humain, lequel commence hors de la Terre et se termine hors de la Terre. Pourtant, la science nouvelle découvre, peu à peu, ce qui - sommes toutes - est parfaitement logique, que, d’un point de vue bio-logique aussi, «nous sommes tous des extra-terrestres»...
Là où il y a pas assez de gènes il n’y a pas de plaisir!
Récemment, une surprenante découverte a été annoncée par des scientifiques qui auraient déchiffré le secret du génome humain, qui définit toute chose au sujet de notre apparence physique. Ce matériau complexe ne se trouve pas seulement dans chaque cellule de notre corps humain mais dans toute entité biologique vivante.
En termes très simplifiés, l’on peut dire que notre ADN présente deux «colliers de perles entrelacés» l’un autour de l’autre, où chaque perle représente un gène responsable d’une partie de ce qu’est le corps gros-matériel de chacun. Par exemple, un gène peut décider de la couleur de ses yeux, un autre gène définit le genre de protéine se trouvant dans son muscle cardiaque, un autre gène va influencer la texture et la couleur de ses cheveux, etc.
Chaque partie de votre corps peut être définie par les gènes qui définissent votre corps gros-matériel, lorsqu’un spermatozoïde de votre père, contenant la moitié du patrimoine génétique (23 chromosomes) s’unit à un ovule de votre mère contenant l’autre moitié (23 chromosomes). Au moment stratégique la combinaison des deux ADN fournit toute l’information nécessaire (46 chromosomes) pour définir, former et entretenir votre corps terrestre.
Les séquences ADN de nombreuses autres formes de vie ont déjà été décodées depuis celles d’une simple bactérie jusqu’à celles de l’être humain. Les scientifiques se sont passionnés pour cette nouvelle information permettant de comparer l’ADN humain avec celui des autres formes de vie. L’un de leurs objectifs était de se faire une idée au sujet de comment nos corps physiques ont évolué. Le résultat en est de surprenantes vues nouvelles…
L’on peut déjà savoir qu’une minuscule mouche de vinaigre a déjà pas moins de 13.601 gènes.
Il apparaît que nous les êtres humains avons seulement environ 30.000 gènes et non - étant donné que nous sommes censés être beaucoup plus évolués que les autres formes de vie biologique présentes sur la Terre - les 100.000 ou même 140.000 attendus par les scientifiques.
C’est à peine ce qui serait nécessaire rien pour la spécificité de nos gènes humains… Par exemple, nos gènes, comparés avec ceux des chimpanzés, sont les mêmes à 99 % et les gènes que nous avons en commun avec les souris représentent 70 % de notre bagage génétique complet…
S’il existe une quasi-identité génétique de près de 99 % entre l'homme et les deux espèces de chimpanzés (pourcentage qui fera frémir certains), il est aussi frappant de savoir que cette grande ressemblance génétique est supérieure à celle existant entre les chimpanzés et les gorilles, eux-mêmes faisant pourtant partie de la même sous-famille des Paninés. Les données génétiques et moléculaires sont formelles sur ce point. Cela tendrait à prouver que les chimpanzés sont nos seuls «cousins» vraiment directs.
De nombreux gènes humains ont des fonctions similaires ou identiques aux gènes trouvés dans d’autres organismes vivants, les complexes et les simples.
Toute l’information présentement disponible au sujet de l’ADN a conduit les scientifiques à la conclusion qu’il existe une source commune d’ADN ayant trouvé son chemin dans chaque entité vivant(e) sur cette planète.
En outre, à travers les âges, les formes de vie sont devenues toujours plus complexes et plus hautement évoluées par l’adjonction de gènes originaux disponibles provenant de simples organismes, quelques-uns d’entre eux ayant muté au fil du temps… Tout cela a culminé lors de l’apparition de l’«Homo sapiens» … nous!
L’on peut dire que notre ADN est, à beaucoup d’égards, un mélange – ou, mieux dit, un assemblage – de tous les autres ADN existant sur la Terre … avec, toutefois, une seule grande exception.
Cette exception est la partie qui continue de bluffer les meilleurs scientifiques de la Terre… Ce sont les 223 gènes de l’ADN humain qui n’existent pas dans les autres organismes vivants connus sur Terre. En d’autres termes, il apparaît que nous n’avons pas hérité ce paquet de gènes de quelque autre forme de vie existant sur cette planète!

Ceci soulève une très évidente question. D’où viennent ces 223 gènes inconnus? Les meilleurs des scientifiques peuvent supputer qu’ils proviendraient d’une «infection bactérienne latérale» jadis survenue dans notre lointain passé. Dit d’une autre manière, ces mystérieux gènes furent aussitôt implantés dans l’ADN de notre ancêtre par une infection bactérienne. Cela voudrait dire que tous les êtres humains terrestres actuels seraient le résultat d’une infection bactérienne! Assez peu poétique!
Si l’on écarte celle-ci (et nous verrons plus loin qu’elle ne tient pas la route), quelle autre possibilité reste-t-il? Est-il possible qu’une race avancée d’êtres extra-terrestres aient visité cette planète il y a des milliers – voire des centaines de milliers – d’années et aient glissé ces 223 gènes dans l’ADN de l’un de nos ancêtres?
C’est une hypothèse qui est loin d’être aussi farfelue qu’elle pourrait le sembler de prime abord…
En effet, aujourd’hui, des scientifiques font déjà de semblables choses lors d’expérimentations et de manipulations génétiques… Tout le monde a maintenant entendu parler des tristement célèbres «OGM» («Organismes Génétiquement Modifiés»). Ce qui est possible sur des plantes est aussi possible sur des animaux, et ce qui est aussi possible sur des animaux est aussi possible sur des … êtres humains!
De plus, il existe une évidence appuyant le concept de «raccordement latéral». Et une partie de cette évidence pourrait être retrouvée dans les tablettes d’argile laissées par les anciens Sumériens qui vivaient il y a six millénaires, ainsi que l’affirme Zachariah Sitchin dans son livre «La Genèse revisitée».
Avec une telle hypothèse, il apparaîtrait que les extra-terrestres ne seraient pas à rechercher seulement hors de la Terre… Nous y reviendrons.
Le Code de la Bible
C’est présentement un autre «Jean» - Jean Sider – qui, notamment dans un article portant cette phrase comme titre, reprend, présentement, le célèbre cri: «Nous sommes tous des extra-terrestres!».
Dans un article (voir référence à la fin) ainsi intitulé, Jean Sider se réfère, en particulier, au Code de la Bible. En effet, fait-il observer, depuis la parution, en 1997, du livre du journaliste américain Michaël Drosnin «La Bible: Le Code Secret» nous connaissons l’existence d'informations codées dans la Bible, qui ont été démontrées par des statistiques mathématiques.
La question de savoir s’il y a, oui ou non, un Code dans la Bible ne date pas d'il y a seulement quelques années: à la fin du XIXème, début 20ème siècle, un scientifique du nom d'Yvan Panin exhuma les découvertes, ou, plus exactement, les intuitions du célèbre savant ... Isaac Newton. Car, en réalité, Newton n’avait alors pas les moyens techniques (l’ordinateur et l’informatique!) de vérifier ses intuitions.
En quoi cela consistait-il exactement? Newton, puis Panin après lui, s’étaient aperçus que les Textes bibliques semblaient être bâtis sur des systèmes mathématiques. Certains mots, en effet, apparaissaient régulièrement, comme s'ils étaient littéralement comptés en séquences.
Comment ça marche?
L'apparition de l'ordinateur introduisit une donnée nouvelle: avec sa grande puissance de calcul, il était désormais possible de précisément compter ces intervalles de lettres. C'est ainsi que fut entrée dans un ordinateur la totalité de la Bible, contenant, pour une part, la Parole de Dieu, au sujet de laquelle Jésus a dit:
«Car, je vous le dis, en Vérité, aussi longtemps que le Ciel et la Terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la Loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit accompli.» (Matthieu, V, 18.).
La «Loi», c’est la «Thora». Les copistes juifs, perpétuant une antique tradition, recopiaient scrupuleusement à la main le Texte, prenant bien soin de reproduire également les traits («ïotas») qui semblaient même inutiles ou mis par erreur.
L'hébreu (et le grec) ayant un alphabet alpha-numérique (chaque lettre est à la fois une lettre ... et un chiffre!), c'est donc une suite alpha-numérique, un édifice complexe de nombres-lettres qui est entré dans l’ordinateur. C'est ainsi que furent découverts les fameux «SEL», les «Sauts équidistants de Lettres». Usant des mots qui, dans le Texte visible, revenaient à des rythmes réguliers, totalisant leur valeur numérique, l'ordinateur commença à prélever dans le texte une lettre par-ci par-là, selon les nombres précédemment découverts. À la surprise du mathématicien israélien Eliyahu Rips et d’autres, des mots commencèrent à apparaître. Ils étaient en relation avec le Texte, et en éclairaient même le con-Texte.
Plus que cela, apparurent ainsi des événements qui, au moment où la Bible fut écrite, étaient encore loin dans le futur, mais au moment où furent découverts les Codes, étaient déjà accomplis. L’on parlait donc de «futur {déjà} accompli» et l’on pouvait donc éventuellement en conclure que: «Dieu ne permettait pas que l'on use de ces Codes pour connaître l'avenir.»
Certains scientifiques sont pour le Code, tandis que, bien sûr, d'autres sont contre, et c’est la même chose pour les religieux – en particulier, les mais l'examen montre que les détracteurs du Code, qui prétendent que l'on peut en trouver dans toutes les œuvres littéraires, pourvu qu’elles soient assez longues, à juger trop légèrement, se trompent, en définitive, quand même, lourdement.
Ces Codes ont donc été mis au jour, vers 1976, par Eliyahu (élie) Rips, grâce à l'avènement de l’informatique. Avec un ordinateur équipé d'un logiciel spécialement conçu pour l’hébreu pour la détection des Codes, toute recherche de ce genre est donc devenue possible.
Eliyahu Rips, mathématicien israélien réputé, affirme donc avoir découvert un Code secret à l'intérieur même de la Bible. Le texte caché qu'il recherche avec l’aide d’ordinateurs et de programmes appropriés serait une sorte de Prophétie totale: Tout ce qui s'est passé sur la Terre depuis l'écriture du Livre des Livres et tout ce qui adviendra y serait, avec une relative grande précision, déjà décrit.
Eliyahu Rips assure qu'il a ainsi découvert la possibilité de l'assassinat du premier ministre Rabin et de bien d'autres événements, bien avant qu'ils ne se réalisent. Alors que l'Académie des Sciences d'Israël a déjà officiellement reconnu la validité scientifique de ses travaux (bien qu’il y ait, aussi, bien sûr, des détracteurs…), Michael Drosnin, un journaliste américain renommé, lui a consacré un livre, «La Bible: le Code secret», chez Robert Laffont. L’auteur passant de l'incrédulité initiale à la plus grande fascination, ce livre est le récit d'un voyage vers l’un des plus grands Mystères de la destinée humaine.
Après la sortie du livre, il existait de nombreux logiciels pour s’adonner à de telles recherches et l’on en trouvait, par exemple, un à l’adresse:
http://www.biblecodecritic.com/page.php/35
En dépit de l’inévitable levée de boucliers qui a accueilli l'annonce de la découverte de élyahu Rips, les Codes semblent bel et bien exister, n'en déplaise à certaines «grosses têtes», qui, comme d’habitude, s'accrochent encore à leurs préjugés et idées reçues. Ce rejet s'explique, pour l’essentiel, par l’habituelle domination de l’intellect sévissant, sans doute là encore plus qu’ailleurs, dans le monde dit «scientifique».
Il est, du reste, à noter que le Code fonctionne aussi, cette fois en langue allemande, dans l’Œuvre "IM LICHTE DER WAHRHEIT”, ce qui devrait aussi en interpeller plus d’un au sujet de l’Origine de cette puissante Œuvre…, de même aussi qu’au sujet du genre particulier de la pure langue allemande…
Curieux paradoxe, de nombreux religieux rejettent les Codes, tandis que certains incroyants les acceptent.
La vie terrestre serait-elle d’origine extra-terrestre?
Henri Bergson, le «philosophe de l’Intuition» (et qui devait donc en avoir pas mal!) a dit: «L'Univers est une Machine à faire des Dieux».
Dans son livre «La vie vient d'une Intelligence supérieure» Jean Sider présente diverses hypothèses relatives à l'origine extra-terrestre de la vie sur la Terre et de l'intelligence humaine. Pour ce faire, il se réfère à des données scientifiques invalidant la théorie «évolutionniste» – officiellement reconnue comme seule juste - de Darwin. Il s’est aussi efforcé de montrer qu'une intelligence inconnue disposant d'une technologie surpassant la terrienne, était à l'œuvre sur la Terre depuis des siècles, voire des millénaires, peut-être même depuis l'aube de l'humanité. Une idée partagée, depuis déjà plusieurs décennies, par de nombreux auteurs, dont Erich von Däniken, Robert Charroux, Maurice Chatelain, Jean Sendy, etc…