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Sommes nous tous des extra-terrestres? - 3ème partie

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Sommes nous tous des extra-terrestres?

3ème partie


Suite de la page "Sommes-nous tous des extra-terrestres?" 2




Des gènes bien … gênants

Les 223 «gènes étrangers» pourraient-ils, quand même, provenir de la Terre?

Après ce préambule relatif au Code de la Bible, concentrons-nous, maintenant, sur les gènes du génome humain.

Le biologiste Dobzhansky (1900-1975) a dit: «Rien n’a de sens en biologie, si ce n’est à la lumière de l’évolution».

Du point de vue de l’évolution, considérons donc la suite…

Et, tout d’abord, l’hypothèse la plus simple, déjà évoquée plus haut:

Au cours de la progression de l’évolution depuis la bactérie aux invertébrés (tels que les lignées de moisissures, vers, mouches, etc., qui ont été déchiffrées), puis aux vertébrés (souris, chimpanzés) et finalement jusqu’aux êtres humains, ces 223 gènes sont complètement manquants au cours de la phase invertébrée.

Certains scientifiques ont alors dit: «Les 223 gènes étrangers trouvés dans le génome humain viennent, par «transfert horizontal» (et non vertical, c’est-à-dire en suivant le fil normal de l’évolution) de bactéries procaryotes» (des bactéries sans noyau mais avec chromosome). Pourtant, l’analyse du génome humain, pour lequel il a été suggéré que 223 gènes humains auraient une origine procaryote (le terme «procaryote» - du grec «pro», «avant» et «caryon», «noyau» - est d'abord une référence à une structure cellulaire particulière, sans noyau ni autres organites, s'opposant à «eucaryote») récente, impliquant que les transferts horizontaux de gènes auraient eu lieu durant l’histoire des vertébrés. Des analyses phylogénétiques détaillées ont, toutefois, montré que la plupart des transferts horizontaux de gènes ont eu lieu beaucoup plus tôt dans l’évolution et qu’en fait très peu, voire aucun, des gènes humains n’ont une origine procaryote récente.

Pour certains auteurs (dont Zachariah Sitchin), le transfert ne s’est, d’ailleurs, pas fait de la bactérie à l’être humain mais, en sens inverse, de l’être humain à la bactérie…

En effet, une analyse des fonctions de ces gènes à travers les protéines qu’ils épellent - analyse publiée dans le journal «Nature» - a montré qu’ils n’incluent pas seulement des protéines impliquées dans d’importantes fonctions physiologiques mais aussi dans des processus interagissant aussi le domaine psychique. De plus, il sont responsables d’importants enzymes neurologiques qui proviennent uniquement de la portion mitochondriale de l’ADN appelé «ADN éve», que l’humanité aurait hérité uniquement par la lignée maternelle, le chemin entier remontant jusqu’à une unique «ève». Cette découverte, à elle seule, soulève un sérieux doute en regard de l’explication faisant intervenir une «insertion bactérienne».

Comment les scientifiques pourraient-ils être sûrs que des gènes aussi importants et complexes que ceux-là et constituant un immense avantage, aient été reçus par nous, de façon «tout à fait récente», grâce aux bons offices d’une bactérie infectieuse?

L’on est donc confronté à une sorte de «saut quantique», dont ne rendent pas compte les habituelles théories de l’évolution.

«Nous n’avons pas identifié de source bactérienne préférée pour le supposé transfert horizontal de gènes» est-il dit dans le reportage de la revue «Nature».

Une équipe de recherche a découvert que 113 gènes sur les 223 sont «très répandus parmi les bactéries», bien qu’ils soient entièrement absents même du monde des invertébrés. Une analyse des protéines par lesquelles s’expriment les mystérieux gènes a montré que sur 35 protéines identifiées seulement 10 ont des contreparties dans le règne des invertébrés. 25 protéines sur les 35 étaient spécifiques aux êtres humains. D’un point de vue strictement scientifique, il demeure donc impossible de prouver si le transfert s’est effectué de la bactérie à l’être humain ou de l’être humain à la bactérie…

Mais si les 223 gènes – décidément bien gênants - sont bel et bien «étrangers» à la Terre, ils ne peuvent donc, en bonne logique, n’avoir qu’une origine extra-terrestre…

Caractéristiques du génome humain

Une fois le génome humain décodé, la réelle première grande surprise des scientifiques fut, tout d’abord, le petit nombre de gènes découverts dans le génome humain.

La traditionnelle définition du gène est qu’il représente les instructions nécessaires pour produire un type de molécule protéinique. Naturellement, les organismes complexes sont supposés avoir davantage de gènes que de simples organismes. Par exemple, le minuscule ver annelé, mesurant moins d’un millimètre de long, possède pas moins de 19.000 gènes capables de coder les protéines et encore 800 autres pour coder d’autres fonctions. Bien évidemment, le génome humain serait supposé être beaucoup plus étendu.

Pendant des années - lorsque l’on ne le connaissait pas encore - le nombre de 100.000 gènes a souvent été avancé. Mais, lors d’une première grande conférence scientifique sur le sujet, l’estimation s’étendait, tout d’abord, entre 25.000 et 40.000 gènes seulement. L’idée que l’ADN des êtres humains contient, tout au plus, deux fois autant de gènes qu’un vermisseau, semble ridicule à l’extrême. Coup dur pour le vaniteux intellect humain!

Un scientifique a remarqué que le vermisseau en question «ressemble à un minuscule calmar dépourvu de forme avec aucun complexe anatomique allant au delà de sa génitalité». La mouche commune, par comparaison, avec plus de cellules dans ses yeux à facettes que dans le vermisseau entier, a seulement 13.000 gènes.

En outre, la minuscule plante moutarde en contient 26.000, peut-être (presque) autant qu’un être humain…

De ce point de vue, nous serions à peine supérieurs à une vulgaire plante de campagne…

Une inévitable conclusion s’impose: Les différences physiques et comportementales entre les espèces ne se résument pas à une simple question de nombres de gènes

D’où, émanant de scientifiques, les réflexions suivantes:

«Il est clair que nous, les êtres humains, ne gagnons pas notre indubitable complexité par rapport aux vers ou aux plantes uniquement par le fait que nous utiliserions plus de gènes…»

«Ce qui nous rend humains ne peut pas être défini par l’observation d’un génome.»

“Le défi auquel nous faisons face n’est rien de moins que de comprendre comment ce comparativement petit jeu de gènes peut rendre compte de la diversité des phénomènes et des caractéristiques que nous voyons dans la vie humaine.»

“La recherche relative à ce qui fait d’un être humain un être humain continuera, mais il semble maintenant improbable que ce soit les séquences à l’état brut du génome qui le révèleront.»

«Les organismes vivants doivent être expliqués en tant qu’organismes, et non en tant que somme de gènes

«Il y a là une vaste Intelligence {ayant conçu cela}.»

«La symphonie humaine, en d’autres termes, consiste presque entièrement en de vieux accords volés aux autres travaux. Uniques sommes-nous, mais pas faits de fragments uniques.»

En résumé:

«Bien sûr, nous ne pouvons pas répondre à la question «Qu’est-ce que l’homme?» en regardant le génome, mais nous voyons, quand même, dedans, la Main de Dieu

La mystérieuse Cosmogonie des Dogons

Le moment est maintenant venu de nous intéresser à un peuple particulier dont l’étonnante Cosmogonie peut difficilement s’expliquer en dehors d’un contact extra-terrestre…

«Dogons» est le nom d'un peuple d’agriculteurs vivant sur le plateau desséché de Bandiagara dans l’actuel Mali et qui, dans leur tradition, font état d'une cosmogonie tellement fantastique qu'elle semble tout droit sortir de l’aventureux roman d’un échevelé auteur de science-fiction

Le Pays dogon compte, aujourd’hui, 700.000 habitants et couvre une vaste région de 50.000 kilomètres carrés, qui s’étend - à l’Est - de la frontière du Burkina Faso jusqu’aux - à l’Ouest - environs de Sévaré. Il s’étire tout le long de la falaise de Bandiagara, longue de 150 kilomètres et parfois haute de 300 mètres.

Le peuple dogon est originaire des Monts mandingues, à la frontière guinéo-malienne. Animistes, ils ont refusé de se convertir à l’Islam et ont dû s’exiler au XVIIIème siècle, remontant le fleuve Niger jusqu’aux reliefs protecteurs du plateau et de la falaise de Bandiagara. Les Dogons y ont reçu un important héritage culturel du peuple qui vivait alors dans la falaise et qui a, depuis, mystérieusement disparu, les Tellems, soit, en langue dogon, «Ceux que nous avons trouvés».

C'est donc pour fuir l'Islamisation qu’il y a quelques siècles les Dogons sont venus à Bandiagara. Ils y ont trouvé les Tellems (ou «Thélèmes»), une tribu dont les tout petits membres étaient de la taille des Pygmées. Les habitations des Thélèmes, plus petites, sont encore visibles dans la paroi rocheuse. Les Dogons, de stature pour nous «normale», ont construit leurs propres cases, un peu plus bas, mais assez haut, quand même, pour se protéger des animaux sauvages. Aujourd'hui, les champs de mil ont remplacé la jungle.

Selon les anciennes croyances des Tellems dont les Dogons ont hérité, une étoile se trouve au Centre de l'Univers. Elle est la première créée par Dieu. «Po Tolo», c'est son nom, - par la science nous le savons aujourd’hui –, existe bien mais est invisible à l'œil nu. Et pourtant, lorsqu’ils en parlent, les Dogons la situent près de Sirius, une autre étoile bien connue, car l'une des plus brillantes du firmament. Po Tolo signifie «la plus petite chose qui soit». Comment les Dogons, «peuple primitif» dépourvu de toute base scientifique et de technologie de pointe, peuvent-ils connaître l'existence d'une étoile qui, à l’œil nu, ne se voit pas?

Selon eux, c'est un peuple venu d'une autre planète qui leur aurait donné ces informations sur l'Univers.

Pour les «scientifiques» rationalistes occidentaux, les Dogons auraient appris l'existence de Po Tolo par un voyageur-ethnologue européen au début du XXème siècle. Mais les Dogons parlent leur propre dialecte. Difficile alors d'imaginer une discussion scientifique poussée entre un Dogon et un aventurier sur le calcul de l'orbite d'une étoile naine... Et invisible! Cela n'empêche pas que les Dogons en aient fait, depuis longtemps, bien avant la visite de l’ethnologue, le centre de leur Univers!

Examinons, plus en détails, comment toute cette étrange histoire a commencé:

Ce sont deux ethnologues français, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen qui, après avoir été initiés par un prêtre Dogon en 1946, après quatre années d'enquêtes, publièrent en 1951 une étude dans le journal de la «Société des Africanistes» sous le titre: «Un système soudanais de Sirius», suivi d'un ouvrage intitulé «Le renard pâle» sous-titré «Le mythe cosmologique, travaux et mémoire de l'Institut d'Ethnologie à Paris». Dans ces ouvrages ils firent le récit de ce que leur fut dévoilé par ce prêtre dogon sur la vision de l'Univers par les Dogons, et ce qu'ils racontèrent alors, était tellement extraordinaire que personne ne voulut les croire.

Tout d'abord, ces Dogons affirment connaître depuis longtemps deux étoiles compagnes de Sirius, qui est l'étoile la plus brillante du ciel. Mais à l'œil nu, l’on ne peut apercevoir qu'une seule étoile et ce n'est qu'en 1862 que, l'astronome américain Alvan Clarke découvrit, grâce à un puissant télescope, la seconde étoile, qui fut alors nommée: «Sirius B».

Cependant, les Dogons, eux, affirment qu'il existe une troisième étoile, que nous pourrions nommer «Sirius C», et, surtout, ils assurent que leurs ancêtres seraient précisément venus, il y a des millénaires, d'une planète en orbite autour de cette troisième étoile, que nous ne connaissons pas encore.

Voyons, maintenant, plus en détail ce que disent les Dogons sur Sirius et ses voisin(e)s. Ils affirment que Sirius possède d'abord un compagnon plus petit et surtout plus lourd qu'ils nomment «Po-Tolo» ou «Po-Digitaria», du nom d'une graine de céréale, africaine très petite et très lourde qu'ils utilisent régulièrement. Mais surtout les Dogons savent que Sirus B donc «Po-Tolo» boucle son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans et c'est pour cela que ces Dogons célèbrent, tous les cinquante ans, la «fête de Sigui», dont les cérémonies visent à régénérer le Monde, d'où son importance, sans doute, pour que les récoltes soient bonnes.

Or c'est d'abord l'allemand Bessel qui fut le premier, en 1844, à soupçonner l'existence de cette 2ème étoile, pour expliquer les insolites oscillations du mouvement apparent de Sirius A, alors que l'orbite théorique de cette étoile Sirius B - on le sait, invisible à l'œil nu - fut calculée par Peter en 1851 et que sa période de révolution fut précisée par Van Den Bas, en 1960, comme étant exactement de 50.090 ans. Or, si l’on fait abstraction des décimales, les Dogons, eux, le savaient déjà. Alors, comment les Dogons ont-ils su que la période de révolution de Sirius B était justement de 50 ans? Mystère!

Cette étoile Sirius B est ce que l'on appelle une «naine blanche». Elle est plus vieille que Sirius A, mais ne mesure que 30.000 Km environ de diamètre, donc à peu près deux fois et demi celui de notre Terre et sa densité est de 50.000 alors que sa masse atteint 90 % de celle de notre Soleil. Mais que dire de cette troisième étoile Sirus C, que les Dogons affirment connaître? Ils la nomment «Emma Ya», ou «Sorgo», ou encore «L'étoile des femmes», et ils disent que cette étoile a une période de révolution de 32 ans autour de Sirius A, sur une orbite elliptique très excentrique et qui est - et cela est d’une précision tout à fait notable - perpendiculaire à celle de Sirius B. Les Dogons, qui, par culte ou culture, ont dessiné ces orbites sur leur objets précieux, affirment surtout que Emma Ya possède plusieurs planètes en orbite autour d'elle et que c'est de l'une de ces planètes que sont venus leurs ancêtres, il y a très longtemps, à bord du «Nomo», vaisseau inter-stellaire, dont la forme et le comportement ressemblent beaucoup à ceux de la fusée lunaire «Apollo».

En ce qui concerne les recherches des astrophysiciens sur cette étoile Sirius C, dans une revue «Astronomy & Astrophisics» de l’année 1991, les astronomes Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry disent qu'ils en soupçonnent l'existence par suite de la constatation d'un changement de couleur du système, à travers les ages, et pensent que cet hypothétique troisième compagnon de Sirius pourrait bien avoir une orbite très aplatie comme une comète et, après analyse grâce à un coronographe occultant la lumière aveuglante de Sirius A, ils ont sélectionné deux d'entre ces corps voyageurs sans arriver encore à déterminer lequel de ces astres montre le même mouvement propre que Sirius. Cependant, dès les années 1920, une demi-douzaine d'astronomes rapportèrent l'observation d'une 3ème étoile très faible susceptible d'appartenir au système, mais aucune confirmation n'a pu en être donnée jusqu'ici.

Les derniers travaux menés par les astronomes Jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l'observatoire de Nice, qui utilisèrent des simulations numériques d'ordinateurs, semblent renforcer l'hypothèse de l'existence du 3ème corps d'une masse très faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de magnitude apparente de 5 à 10 fois plus faible que Sirius A. (Voir, à ce sujet, la revue «Ciel et Espace» d'Août 1995, article d'Olivier Fèvre intitulé «L'énigme de Sirius» et aussi l'article «Les étoiles du sacrifice» de Serge Jodra, dans le numéro 331 de Mai 1996.)

Les Dogons ont, en outre aussi, d'autres connaissances astronomiques toutes aussi étonnantes de la part d'une tribu arriérée qui vit au centre d'Afrique et pratiquement sans contact extérieur. Ils connaissent les différentes phases de Vénus, qui sont à peu près analogues à celles de la Lune, et ils ont donné six noms différents aux divers aspects que présente, d'après eux, cette planète comme s'ils avaient su comment faire pour l'observer de l'extérieur. D'autre part, ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et ils disent aussi que Vénus possède un compagnon, qui pourrait, sans doute, être l'astéroïde Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus. Ils connaissent aussi les quatre plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l'œil nu, mais, alors qu'ils connaissent les compagnons stellaires de Sirius, ils ignorent cependant les planètes au-delà de Saturne, donc Uranus, Neptune et Pluton. Il ressort donc de telles constatations que les Dogons n'ont pas pu acquérir leurs connaissances par eux-mêmes (sinon ils connaîtraient Uranus, Neptune et Pluton avant de savoir ce qui se passe dans Sirius!) et ils ne peuvent en avoir eu qu’une révélation.

Alors, qui leur a enseigné ce qui se passe dans la constellation de Sirius, si ce n’est des «initiateurs cosmiques»?

Les Dogons affirment aussi que tout l'Univers tourne en spirale conique et qu'il a été créé à partir d'un noyau central par la «Voix» d'AMMA leur Dieu suprême, ce que l’on peut rapprocher de ce qui est dit dans la Bible, lorsqu’il est dit dans la Genèse: «Au Commencement était le Verbe». Pour eux, l'Univers est «infini», mais cependant «mesurable», ce qui montre qu’il est plutôt fini qu’«infini» - et donc, plus précisément, "indéfini" - ce qui rejoint les théories d'Albert Einstein. De plus, ils croient que les mondes infinis s'éloignent de nous à des très grandes vitesses, en un mouvement spiralé, donc par une combinaison de translations et de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures élémentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes et nous voyons là qu'ils anticipent ainsi sur les conclusions les plus modernes concernant l'expansion et la structure de notre Univers gros-matériel.

La tradition des Dogons, que raconte le prêtre Ogotemmeli, dit aussi que leurs ancêtres étaient des «amphibiens» (d’un point de vue biologique, la classe des amphibiens – anciennement appelés batraciens - est une classe de vertébrés, intermédiaire entre les poissons et les reptiles dans la conquête de la vie terrestre) et c'est pour cela qu'ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de «Jour du Poisson» et cela fait penser à la tradition sumérienne, qui parle d'Oannes, l'homme-poisson apparu, à plusieurs reprises, sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les êtres humains.

Le «Nomo», lorsqu’il a atterri au Nord-Est du pays, dans un tourbillon de poussière, était rouge comme le feu, puis il fut traîné dans une dépression remplie d'eau et il put ainsi flotter. Puis des astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D'ailleurs, l'eau joue un grand rôle chez les Dogons, qui considèrent que l'eau douce est de genre masculin tandis que l'eau de mer est de genre féminin, que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve même à l'intérieur de la pierre car l'humidité est partout. «Nomo», qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la Terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes qui poussaient déjà dans les «Champs du Ciel» et, après avoir créé la terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l'Humanité. Sa tâche terminée, Nomo aurait regagné «le Ciel».

Ceci se rapproche - on le voit - de nombreuses histoires connues, et l’on découvre ici que les Dogons savent qu'il existe des Terres cultivées ailleurs, dans le ciel, alors qu'il y a encore peu, en 1772, certains «savants», dont le grand chimiste Lavoisier, pensaient que «les météorites ne peuvent pas tomber du ciel», car, d'après eux, «il n'y a pas de pierres dans le ciel». Mais ce sont les révélations sur l'eau, que raconte le prêtre dogon, qui sont encore plus surprenantes, lorsque l’on sait que la science actuelle n'a que récemment découvert la possibilité d'obtenir de l'eau à partir de la roche du sol, en voulant optimiser les possibilités de survie des hommes qui pourraient séjourner sur la Lune pour de longues périodes et cela en extrayant de ces pierres lunaires, à l'aide de procédés très pointus et onéreux, l'hydrogène et l'oxygène à l'origine des molécules d'eau.

Les extra-ordinaires connaissances cosmiques des Dogons, nous interpellent fortement, et l’on se demande encore comment, sans microscope ni télescope ni «mathématiques supérieures» ni rien de semblable, ils ont pu arriver à savoir tout cela. Et l’on peut, à partir de ce constat, alors émettre l'idée que le passé de notre planète Terre est bien plus riche d’enseignements et de surprises que celui que présente les plus ou moins grandes ou hautes écoles de cette humanité.

Si les Dogons n’ont pu eux-mêmes trouver cette connaissance, c’est qu’elle leur a été enseignée.
Oui, mais, quand, comment et, surtout, par qui?


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