Recherche dans le blog

Est-il permis de tuer des animaux pour les manger?

Publié le : 10/03/2020 17:37:00
Catégories : Articles Rss feed , La Vie Spirituelle Rss feed

.

Est-il permis de tuer des animaux
pour les
MANGER?

 

Au sujet du végétarisme «sentimental»

 

«J'ai rejeté la viande depuis très tôt dans mon enfance, et le temps viendra où les êtres humains, comme moi, regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent maintenant le meurtre de leurs semblables  - Léonard de Vinci -


Introduction: La Recherche du Juste

Vous êtes un être respectueux de tout ce qui vit, vous voulez bien agir en toutes circonstances, vous aimez la Vie sous toutes ses formes et vous aimez aussi tout particulièrement les animaux, nos «frères inférieurs» et ne leur voulez que du Bien...

Ce qui est dit ici vous concerne tout particulièrement… Cherchons ensemble, à cet égard, le juste Chemin.

Considérations diététiques à part, rien que pour ne pas tuer eux-mêmes d’animaux ou ne pas manger des animaux tués par d’autres, beaucoup d’êtres humains deviennent végétariens, voire végétaliens (excluant aussi les sous-produits animaux comme les œufs et le lait, ainsi que les produits dérivés du lait, comme les yoghourts, fromages en tous genres, etc…), estimant que les animaux, même s’ils ne sont pas capables de se défendre contre les êtres humains, souffrent, tout comme eux, de la maltraitance et de la privation de leur vie et ont un droit à la vie égal à celui des êtres humains.

À ce sujet, l’on peut, déjà, évoquer le Cinquième Commandement qui, avec grandeur et concision, dit, tout simplement: «Tu ne dois pas tuer!».

L’on raconte que la mère du grand poète Alphonse de Lamartine, elle-même végétarienne, emmena, lorsqu’il avait une dizaine d’années, son fils Alphonse, visiter des abattoirs. Tellement dégoûté de ce qu’il vit, il prit, comme sa mère, la décision de devenir végétarien

Même sans que les êtres humains les mangent, pour l’instant, les animaux se mangent déjà entre eux, mais, évoquant le Royaume de Dieu à venir sur la Terre, le Prophète Isaïe a annoncé le Temps béni où:

«Le loup habitera avec l'agneau, et la panthère se couchera avec le chevreau; le veau, le lionceau, et le bétail qu'on engraisse, seront ensemble, et un petit enfant les conduira. La vache et l'ourse auront un même pâturage, leurs petits un même gîte; et le lion, comme le bœuf, mangera de la paille. Le nourrisson s'ébattra sur l'antre de la vipère. Et l'enfant sevré mettra sa main dans la caverne du basilic. Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute Ma Sainte Montagne; car la Terre sera remplie de la Connaissance de l'Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent.» (Isaïe XI 6-9)

A cette époque-là, tous les animaux seront devenus végétaliens!


Définitions

Le végétarisme: doctrine alimentaire qui exclut la viande, la chair de tous les animaux, y compris des poissons. Les végétariens sont souvent des gens soucieux de leur santé, comme du bien-être des animaux. Ils ont un régime équilibré et varié comprenant lait, œufs, légumes, fruits, fruits secs, céréales, légumineuses.

Le végétalisme: régime plus strict.  Les végétaliens suppriment de leur alimentation tous les produits et sous-produits animaux, donc le lait, les fromages, les œufs.

Le véganisme est un autre nom du végétalisme.  Déformation du terme anglais "veganism", signifiant "végétalisme". Les pratiquants du véganisme refusent l'emploi de tous les produits animaux: ceintures, chaussures en cuir, etc...


Aspects diététiques

En attendant cette époque bénie où les animaux aussi seront végétariens, sur le plan de la nourriture humaine, disons déjà, en résumé, que, dans l’absolu, la nourriture végétale seule est idéale. La nourriture purement végétale apporte Affinement du corps humain, ennoblissement, Renforcement et Guérison. Par là même, l'esprit, lui aussi, s'en trouve encore plus élevé.

«Parfait!», pensera-t-on alors tout de suite, «je deviens végétalien!».

Oui, sauf que tout cela n'est pas pour l'immédiat, pas encore pour l'humanité actuelle! Il ne s’agit pas de faire n’importe quoi ! Pour le corps de la plupart des «omnivores» êtres humains actuels – donc ceux qui ont déjà mangé de la viande et dont les parents ne sont pas ou n’étaient pas végétariens – la nourriture exclusivement végétale, sans plus, est insuffisante. Et cela n’est pas une question de protéines ou de vitamines!

Passagèrement ça va, même, parfois, durant des années. Chez les malades, c'est même souvent nécessaire pour obtenir la guérison, ou pour contribuer à renforcer la vitalité du corps, quel que soit l’endroit à renforcer, mais cela ne doit pas durer plus de quelques années!

Après plusieurs années de strict végétalisme ou végétarisme, il convient de lentement reprendre la nourriture habituelle aux êtres humains d'aujourd'hui, si le corps ne doit pas en pâtir. Même si l’on s’imagine très bien se trouver avec ce régime, l'apparence de bien-être est trompeuse.

Il n’y a pas que les malades qui peuvent en profiter, parce que ce qui importe pour l’être humain et qui est si souvent négligé, c’est le respect du corps en bonne santé! Donc, les bien-portants, eux aussi, utiliseront, parfois, avec profit, durant un certain temps, uniquement la nourriture végétale. Alors ils se sentiront bien, eux aussi, sans aucun doute, et ressentiront aussi un libre élan de leur esprit vers les Hauteurs.

Mais, mais… fondamentalement, cela, ce n'est pas la nourriture végétale exclusive qui l’apporte mais c’est l'alternance qui, comme toute alternance, est rafraîchissante pour le corps et l’esprit. Elle peut donc aussi être rafraîchissante, en sens inverse

Par contre, si d’anciens «carnassiers» décident, après quelques années, de continuer, sans ménager de paliers de transition, cette nourriture végétale exclusive, alors ils vont, sans toutefois s’en rendre compte, devenir plus faibles et, en maintes choses, beaucoup plus fragiles. La «sérénité» et l'équilibre atteints, dans la plupart des cas, ne sont pas de la vigueur, mais de la faiblesse d'un genre tout à fait spécial. Mais parce qu'elle ne trouve pas son origine dans une maladie, elle n’est pas désagréable de sorte que l’envie se fasse obligatoirement sentir de sortir de cet état.

C’est comme pour une vieille personne dont les forces vont en déclinant: elle n’a, certes, plus toute sa vigueur; elle n’est plus aussi robuste qu’à vingt ans, mais elle n’est pas pour autant malade!

C’est que, après avoir mangé de la viande pendant des milliers d'années, le corps humain, par suite du manque soudain de ce à quoi il était habitué – il ne s’agit pas ici de vitamines ou de minéraux, mais de radiations! – depuis ce temps-là, ne peut plus fournir la force-sexuelle dont l'esprit a besoin pour le plein accomplissement de son but dans la matière.

Or c’est précisément cette force-sexuelle qui fait la liaison entre l’esprit et le corps, permettant donc une pleine incarnation de l’esprit humain dans la matière. «Manger et boire maintiennent ensemble l’âme et le corps» dit le proverbe; c’est tout particulièrement vrai lorsque l’on mange… de la viande!

Beaucoup de végétariens depuis des années s’aperçoivent que leur instinct sexuel baisse, ils n’ont plus autant d’impulsion vers l’acte sexuel et ils trouvent cela très bien! Cependant, ils ont tort de se réjouir, car ce n'est absolument pas à cause de l'ennoblissement de leur esprit par la nourriture végétale que leur libido baisse, mais c'est à cause de l'effondrement de leur force-sexuelle ("Sexualkraft"), dû à l’affaiblissement du corps. La baisse de l’instinct sexuel n’en est qu’un effet secondaire plus ou moins bienvenu. Mais sans force-sexuelle suffisante, l’esprit «plane» et demeure trop étranger à la matière; du coup, son élan dans la matière prend un grand coup de ralentissement.

De plus, si quelqu’un trouve que son instinct sexuel est trop fort et qu’il désire le voir baisser, ce n’est pas en jugulant sa force-sexuelle qu’il va y arriver. Car la force-sexuelle dirigée vers le Haut, c’est-à-dire vers l’obtention de Buts spirituels, c’est autant d’influx sexuel qui n’ira pas se loger dans l’instinct brut!


Conclusion des considérations diététiques

Ceux qui incitent, même en passant par le végétarisme, au végétalisme sont, par leurs efforts, déjà à considérer comme les pionniers de la prochaine grande époque d'évolution continue de l'humanité qui arrive. Ce végétalisme strict, accomplissant la Prophétie d’Isaïe, va, irrésistiblement, bientôt arriver. Mais personne ne peut impunément vouloir sauter des échelons, sans prendre en considération le présent. Regarder vers l'avenir, c’est bien, mais en prenant en considération le corps tel qu’il est encore. L’esprit, dans la matière, ne peut pas aller plus vite que le corps! Il faut une transition!

La transition, en tant que premier pas, est la limitation à la viande blanche. C'est-à-dire: volaille, viande de veau, agneau, et le reste – poissons et, en quantité mesurée, sous-produits animaux – à côté de la nourriture végétale accrue. Ce n'est qu'ainsi que, progressivement, un pas peut survenir, l'un après l'autre. Jusqu'à ce qu'enfin, au terme d’une tranquille transition, le corps soit suffisamment entraîné pour pouvoir conserver sa pleine-force dans la nourriture végétale!

Aux uns l’on dira: «Ne négligez pas votre corps, qui a besoin, pour être en bonne santé et ne pas être surchargé, d’une nourriture légère, produisant peu de purines et de toxines!» et aux autres: «N’oubliez pas votre esprit, qui a besoin des irradiations et de la force-sexuelle intégrales d’un corps capable de les produire!».


Le meurtre animal

«J'étais un cannibale. C'est Shelley qui le premier m'ouvrit les yeux sur la sauvagerie de mon alimentation.»  - George Bernard Shaw, Prix Nobel de Littérature 1925. -

Alors, dira-t-on, si le corps humain a transitoirement encore besoin de viande, au moins de la blanche, il faut encore continuer à élever certaines catégories d’animaux dans le seul but de les tuer pour que leur chair serve à la nourriture humaine? N’est-ce pas cruel pour eux? N’est-ce pas injuste? Un crime?

 
À vous qui aimez les animaux
 
Alors, vous qui aimez les animaux, considérez bien la suite: aux légitimes questions ci-dessus, voilà la réponse spirituelle qu’il est possible d’apporter, et qui sera encore développée ultérieurement:

Le Règne animal et le Règne végétal sont sous l’étroite dépendance du Règne humain. L’être humain est, par genre, roi dans la Création postérieure matérielle, qui s’est développée après la Création purement spirituelle. Les animaux sont ses sujets; mais il doit régner sur eux avec Amour, donc de la juste manière, sinon il se charge d’un lourd karma…:

«Quoi que fasse l'être humain à l'animal, il sera remboursé - Pythagore (582-496 av. J.-C.) -

Les végétariens/végétaliens/véganiens refusent de manger de la viande, parce que les animaux ont une âme («animal» vient du latin «anima», qui veut dire: «âme»), mais ils oublient souvent de considérer que les plantes aussi ont, au sens large, une «âme», même si cette «âme» – qui est, en fait, un entéal, c’est-à-dire un être de la Nature – demeure indépendante de son réceptacle – qui est, en fait, un habitat – et n’est pas liée au lieu comme la plante elle-même.

Il est conforme aux Lois de la Vie que: «Seule la vie entretient la vie!» et s’il était possible de vivre en ne mangeant que du plastique, cela se saurait! En ce sens, l'on peut avoir la vision que chaque règne s'offre spontanément et naturellement en sacrifice pour la survie de celui qui se tient au-dessus de lui.


L’influence de l’être humain sur l’animal

Comment l’être humain influence-t-il le Règne animal et le Règne végétal?

Certes, par son comportement direct à leur égard, mais, là, ce n’est plus de l’influence mais de l’intervention. Par exemple, en chassant ou tuant des animaux ou en abattant des arbres ou en coupant des fleurs…

Ce dont nous parlons ici est quelque chose de plus subtil… L’être humain influence non seulement un peu mais même totalement les Règnes animal et végétal par … ses pensées!!! Car les pensées ce n’est pas rien mais quelque chose! Et ce quelque chose prend forme et influence les âmes animales et les destinées de la Terre et de toute la Création Postérieure.


Le combat dans la Nature

Actuellement, les animaux se mangent entre eux; les prédateurs carnassiers mangent les animaux végétariens; alors pourquoi l’être humain, «animal supérieur», en tant que «prédateur naturel», ne mangerait-il pas aussi les animaux végétariens? Et ce jusqu’au moment où les animaux, eux non plus, ne se mangeront plus entre eux.

L’être humain, allant même jusqu’à accuser le Créateur – ce qui est un blasphème! – dit souvent que le combat dans la Nature est cruel. Mais que se passerait-il, encore aujourd’hui, sans combat dans la Nature? Un épouvantable ramollissement de tout le règne animal s’instaurerait rapidement, conduisant promptement celui-ci à la morbidité et à la décadence

Une observation lucide montre, sans contredit, que le combat dans la Nature, loin de desservir le Règne animal, le maintient globalement en Fraîcheur et Santé. Il n’est que de voir combien les animaux domestiqués, même considérablement choyés (trop!), dégénèrent vite en compagnie des êtres humains, deviennent fragiles et attrapent toutes sortes de maladies, qu’ils n’ont pas lorsqu’il vivent à l’état sauvage

L’instinct de combat est devenu nécessaire pour compenser le grand engourdissement [1] qui, par la faute des êtres humains et de leurs ténébreuses formes-pensées, s’est saisi de toute la Terre et a considérablement ralenti tous ses mouvements. C’est là un moindre mal.

Car, à présent, l’être humain, même végétarien, cause un mal considérable au Règne animal tout entier, il ne sert, en effet, pas à grand chose d’être végétarien si, dans le même temps, l’on continue à polluer l’atmosphère gros-matérielle fine autour de la Terre en ne gardant pas le foyer de ses pensées pur!!!

Lorsqu’un être humain trouve qu’un animal – comme un tigre dépeçant sa proie – est cruel, il porte ainsi un jugement sur sa propre vie intérieure, car si le tigre est ainsi, c’est parce que l’être humain considéré et/ou d’autres comme lui sont ainsi et, par leurs formes-pensées, influencent les tigres, les loups et autres hyènes dans ce sens…, pour la simple et bonne raison que toutes les âmes animales appartiennent à un genre de la Création qui s’appelle l’Entéallique inconscient et que l’Entéallique, situé sous le Spirituel, dans la Création matérielle, se conforme tout naturellement et autoactivement à ce qui émane du Spirituel-humain!

En d’autres termes, que nous en soyons conscients ou non, nos états d’âme et nos pensées d’êtres humains doués d’esprit influencent grandement toute la Création matérielle en général et les animaux en particulier. De ce fait, nous faisons beaucoup plus de mal au Règne animal par notre déplorable attitude d’être humain inconscient des préjudices qu’il cause par sa fausse pensée qu’en les chassant et les tuant pour les manger!

En les tuant pour les manger, nous n’atteignons que leurs corps, et, s’ils sont tués net, sans cruauté ni brutalité, nous ne les faisons pas souffrir, pas plus que lorsqu’ils se combattent et se mangent eux-mêmes, mais, par notre mauvais vouloir mal orienté, nous portons préjudice à leurs âmes en les faisant vivre dans un monde enténébré et engourdi par nos mauvaises formes-pensées. De ce fait, l’instinct brut animal a pris la forme qu’il a pris, afin de, malgré l’enténèbrement et l’engourdissement allant de pair, maintenir, quand même, la Vigilance – et donc, dans une certaine mesure, la Fraîcheur et la Santé – dans le Monde animal.

Relativement au Cinquième Commandement «Tu ne dois pas tuer!», l’on peut donc dire que l’on tue globalement le Monde animal bien plus sûrement par la fausse pensée précipitant tout le Règne animal dans le malheur qu’en participant ponctuellement au maintien de la Vigilance par la chasse.

En ce qui concerne l’abattage des animaux d’élevage, l’on ne devrait prendre la vie que d’un animal qui, au terme d’une relation, dans la soumission à l’égard d’un maître bien-aimé, volontairement la donne.

L’animal maintient, en effet, la cohésion de son âme, lui permettant de se distinguer de l’âme-groupe et de conserver la personnalité ainsi acquise, grâce à l’Amour pour son maître, de sorte que ce qui importe pour lui, ce n’est pas que sa vie terrestre dure plus ou moins longtemps, mais qu’elle ait été enrichie et personnalisée par l’Amour.

Ce qui compte, en définitive, ce n’est pas la survie particulière d’un individu, mais c’est que la Vie soit globalement gagnante dans les trois Règnes présents dans la matière grossière, de sorte que la conscience y progresse pour tous… Ainsi le cinquième Commandement est observé, car faire mourir est aussi tuer. Mais si un Règne inférieur participe à l’épanouissement d’un Règne plus élevé, même à son apparent détriment, c’est quand même la Vie qui gagne!


Le Paradis terrestre

«Rien ne peut être plus bénéfique à la santé humaine ni accroître les chances de survie de la vie sur la Terre qu'une évolution vers un régime végétarien.» - Albert Einstein, Prix Nobel de Physique en 1921 -

Plus tard, lorsque le Mouvement sera redevenu normal sur la Terre et dans la Création matérielle, c’est de façon toute naturelle que les êtres humains en reviendront au végétalisme originel, sans qu’il soit besoin de le décréter spécialement. À ce moment-là, les animaux eux-mêmes seront, selon la Prophétie d’Isaïe, aussi devenus végétaliens et ils n’auront plus besoin d’être chassés pour se maintenir en mouvement, parce que la position plus élevée de la Terre dans l’Univers Cosmique accélèrera, de façon auto-active et toute naturelle, le Mouvement auquel seront soumises toutes les créatures vivant dans la matière, en sorte que l’instinct de combat se sera transformé en instinct d’émulation et qu’il régnera partout, dans la Nature en général et le Monde animal en particulier, Fraîcheur et Santé.


Ajouter un commentaire

 (avec http://)

2 commentaires

Jacob


17/03/2020 16:26:51

Bonjour, Namasté. Très bonne question. Les dinosaures qui vivaient sur Terre bien avant les êtres humains étaient-ils végétariens? Cela ne correspond pas à l'image que l'on a couramment ni à celle que donne le cinéma, qu'il s'agisse de documentaires ou de fictions. Leurs comportement pourrait-il alors avoir été influencé par celui d'autres êtres humains ayant vécu avant eux, notamment sur d'autres planètes? Peut-être? Pour la question suivante, la grande diversité régnant dans le règne animal peut correspondre à la grande diversité régnant dans les formes-pensées: Beaucoup d'êtres humains ont certes des pensées agressives pouvant, par exemple, avoir influencé la rapacité d'un tigre, mais il est tout aussi flagrant que beaucoup d'autres humains se comportent, par exemple, comme ... des moutons! Il semble donc logique d'admettre que le règne animal est influencé par l'ensemble des vouloirs et des formes-pensées des êtres humains, avec toute la diversité que cela implique! Un certain Jean de La Fontaine semblait avoir bien compris cela! Le fait que le vouloir et le penser humains influencent toute la Nature, bien évidemment, chez les animaux, génère une aussi grande diversité de comportements! Par exemple, il est bien connu que le coucou n'hésite pas à faire couver ses œufs par d'autres espèces. Certains êtres humains sont assurément capables de comportements similaires, mais, heureusement, ils ne constituent qu'une toute petite minorité! Troisième question: Comment s'effectuera la régulation dans le monde animal, lorsque la Prophétie d'Isaïe aura été accomplie? Probablement d'une manière dont, présentement, nous n'avons encore aucune idée, mais qui est déjà prévue par l'Omnisagesse qui régit toute la Création!

Namasté


15/03/2020 14:54:18

Des questions me viennent spontanément suite à la lecture de cet article: Doit-on en déduire ici qu'avant l'apparition des êtres humains sur la terre, les animaux étaient à l'origine tous végétaliens ? On pourrait le supposer, si l'on se place du seul point de vue que se sont nos faux vouloirs et nos mauvaises pensées qui ont provoqué le fait qu'ils se mangent entre eux. Il faut quand même noter ici, qu'il y a des animaux herbivores et d'autres carnivores. Nos mauvaises pensées n'auraient-elles pas impacté l'ensemble des animaux? Si toutefois, tous les animaux étaient dans un état initial ou dans un état futur tous végétaliens, alors qu'en serait-il de l'indispensable auto-régulation qui s'opère par cette chaîne alimentaire?