Recherche dans le blog

Bien des choses se modifieront en cette époque - 2ème Partie

Catégories : Actualités Rss feed

«Bien des choses se modifieront
   en cette époque …»

 

«Bien des choses se modifieront en cette époque.
L'humanité régresse sans cesse.
La force magnétique, qui se modifiera et diminuera, sera bientôt ressentie, ainsi que la Terre, qui sera comme vidée, à la façon dont le sang sort du corps.
Les eaux disparaîtront par infiltration et seront polluées.
Les oiseaux s'abattront depuis le ciel et les poissons périront.
La nudité se montre de plus en plus. Le caractère s'affaiblit. La honte perd les êtres humains.
La poignée de main ne vaut plus rien.
L'oxygène se raréfie.
Les signes apparaissent de plus en plus.
Ainsi en va-t-il sur le globe terrestre et autour de lui, car toute la matière fine est empoisonnée.»


«Fragments d’un Enseignement méconnu» - 1940.


Deuxième Partie - Suite de la Première Partie



 "Oublie Ton Passé, qu’il soit simple ou composé,
  Participe à Ton Présent pour que Ton Futur soit Plus que Parfait!"

«Les eaux disparaîtront par infiltration et seront polluées.»

La pollution des eaux, quasi-inexistante en 1940, est, aujourd’hui, devenue, en bien des endroits, une triste réalité. Dans les pays industrialisés, la plupart des fleuves et des rivières sont pollués, de même que les lacs et les étangs. L’eau des puits n’est, le plus souvent, plus potable. Voilà pour la pollution de l’eau.

À ce sujet, l’Apocalypse dit:

«Le troisième Ange sonna de la trompette. Et il tomba du Ciel une grande Etoile ardente comme un flambeau; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux.

Le nom de cette Etoile est Absinthe; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'êtres humains moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères  (Apocalypse VIII, 10-11).

Venons-en à la première partie de la phrase: «Les eaux disparaîtront par infiltration». C’est plus énigmatique. À ce sujet, l’on peut dire ceci:

La baisse du niveau des nappes phréatiques est un phénomène mondial qui a été remarqué (en 2006) depuis déjà une dizaine d’années. Non pas que les nappes phréatiques suivent le niveau des cours d’eau potable qui sont à la baisse, puisque, en fait, elles contiennent autant d’eau qu’avant. La raison est que les nappes phréatiques s’enfoncent de plus en plus profondément dans le sous-sol. Les spécialistes des ressources aquatiques sont incapables d’en expliquer les causes.

Cette situation est d’une ampleur telle que, chaque année, de grandes quantités de puits artésiens doivent être re-creusés de façon à descendre chercher l’eau encore plus profondément.

Question pourtant vitale, le peu de médiatisation entourant ce phénomène est très curieux. Quelle qu’en soit la cause, il est facile de comprendre que, quel que soit le liquide concerné, le résultat sera toujours le même. Si les nappes phréatiques se terrent plus profondément, il en va aussi de même pour le pétrole...

Les questions posées aux spécialistes de la baisse des réserves pétrolifères sur un possible lien entre les deux phénomènes demeurent, pour l'heure, sans réponses...

Certains vont jusqu'à se demander s'il n'y aurait pas, par hasard, un étranglement volontaire des ressources. Que ce soit ou non le cas, le résultat est le même et sert la stratégie de contrôle souhaité(e) par les tenants du nouvel ordre mondial.

Dans tous les cas, ceci implique nécessairement que le prix du pétrole ne retournera plus jamais à la baisse, bien au contraire. L’impact d’une telle situation va changer, à court terme, irrémédiablement, la façon avec laquelle nous vivons.


«Les oiseaux s'abattront depuis le ciel et les poissons périront.»

Poissons = poisons?

Les poissons concentrent, de façon exponentielle, tout au long de la chaîne alimentaire, les poisons ubiquitaires contenus dans les océans. Dans un premier temps, ils vont empoisonner «à petit feu» les êtres humains qui les mangent… Dans un deuxième temps, lorsque la concentration aura atteint des seuils létaux, c’est eux-mêmes qui en mourront avant même d’être mangés…

Les oiseaux tomber du ciel, sauf d’être chassés, ce n’est pas encore un phénomène courant, mais cela viendra aussi, assurément…

À ce sujet, une brève:

«Le botulisme serait à l’origine de la mort d’une trentaine d’oiseaux à St-Denis-d’Anjou:

«Macabres découvertes mardi sur les bords du grand étang de la Morinière de St-Denis-d’Anjou. Une personne qui se promenait (et qui a donné l’alerte) a trouvé en bordure du plan d’eau des cadavres de foulques. Les pompiers sont intervenus et ont ramassé vingt-huit oiseaux morts. Selon les premières investigations, il semble que ce soit le botulisme qui soit en cause dans cette mortalité. Déjà la semaine dernière, des oiseaux avaient été retrouvés morts près de l’étang de la Rincerie à La Selle-Craonnaise.

Cette maladie n’est malheureusement pas rare en période estivale et de sécheresse. En effet (et c’est le cas à la Morinière) quand les précipitations se font rares, que le niveau de l’eau baisse et que l’oxygène se raréfie, une grande mortalité d’oiseaux est souvent constatée.

Rappelons que le botulisme est une intoxication alimentaire causée par une bactérie anaérobie produisant une toxine qui entraîne la mort par paralysie. Les oiseaux contaminés ont des difficultés à se mouvoir et présentent une paralysie progressive des pattes, des ailes et du cou. La mort survient rapidement. L’OMS indique que les animaux morts doivent être acheminés par les autorités compétentes vers un centre crématoire pour éviter toute contamination.

Deux cadavres d’animaux retrouvés à St-Denis-d’Anjou vont être analysés par l’Office National de la Chasse et de la Faune sauvage.»

Il est intéressant de noter que cette mortalité des oiseaux est liée à la raréfaction de l’oxygène (voir plus bas), elle aussi présentée comme un signe de la Fin des Temps.


«La nudité se montre de plus en plus. Le caractère s'affaiblit. La honte perd les êtres humains.»
«La poignée de main ne vaut plus rien.»

Claire allusion au manque de parole qui caractérise, aujourd’hui, la plupart des êtres humains. Autrefois, les êtres humains scellaient un accord en se serrant ou se tapant la main: «Tope là!», et l’affaire était conclue, et personne ne revenait plus sur ce qu’il avait dit. La parole était sacrée.
Aujourd’hui, la plupart des êtres humains signent, avec le soutien de nombreux «hommes de loi», de nombreux contrats, qu’ils s’efforcent pourtant, à la première occasion, de détourner, dans l’esprit comme dans la lettre…


«L'oxygène se raréfie.»

De nouveau, une importante prédiction, probablement avec un début de réalisation, mais, jusqu’à présent, encore peu remarqué.

Pourtant, avons-nous, toujours, suffisamment d’oxygène?

L’air ambiant nous apporte théoriquement tout l’oxygène dont nous avons besoin. Cependant, sa composition peut fluctuer en fonction de conditions climatiques ou de la pollution et la concentration en oxygène diminuer. Nos besoins peuvent également augmenter en fonction de nos activités ou de notre état de santé.

L’oxygène est partout présent à la surface de la Terre et dans les eaux vives. Il joue un rôle capital dans tous les mécanismes de la vie. Sans oxygène, il n’y aurait pas de vie possible.

Tous les organismes vivants ont un besoin fondamental de s’alimenter en oxygène, qu’ils trouvent dans l’air ambiant.

A l’état de repos, un être humain adulte normal utilise 8 litres d’air par minute, soit près de 500 litres par heure ou environ 12 m3 par jour.

De cette manière, il utilise 23,8 % de l’oxygène contenu dans ce mélange.

Les besoins en oxygène de l’organisme diffèrent en fonction de multiples facteurs comme l’activité exercée, la nutrition ou l’état de relaxation. La pratique d’exercice physique peut ainsi multiplier la consommation d’oxygène par quatre.

Les poumons, grâce à l’interface des alvéoles pulmonaires, permettent la distribution de l’oxygène dans le sang. Là, il se fixe sur l’hémoglobine des globules rouges. Pendant leur voyage au travers de l’organisme, les molécules d’hémoglobine font tomber de l’oxygène dans les différentes cellules et se rechargent en davantage de déchets gazeux comme le monoxyde ou le dioxyde de carbone. Lorsque l’hémoglobine revient dans les poumons, les déchets gazeux doivent être exhalés pour qu’elle puisse, à nouveau, se recharger en oxygène et le cycle recommence indéfiniment.

Le transport de l’oxygène par l’hémoglobine peut être perturbé par l’inhalation de monoxyde de carbone provenant de la fumée de cigarette ou des gaz d’échappement d’un moteur.

Le monoxyde de carbone s’attache préférentiellement à l’hémoglobine au détriment de l’oxygène qu’il chasse.

En théorie, l’air pur se compose d’environ 21 % d’oxygène et 78 % d’azote ainsi que de quantités infinitésimales de gaz divers. En réalité, les activités des êtres humains, comme la combustion de carburants tels que le charbon, le mazout, le gazole, l’essence et le kérosène amènent le rejet dans l’atmosphère de vastes quantités d’autres substances.

La composition de l’air peut donc fluctuer à la suite de phénomènes de pollution, mais, aussi, pour des raisons climatiques (orages, altitude, humidité ambiante).

La proximité des villes et des sites industriels modifie la composition de l’air en y ajoutant des gaz résiduels comme l’oxyde de carbone, les oxydes d’azote, du dioxyde de soufre, de la dioxine ainsi que certaines vapeurs d’organochlorés ou d’hydrocarbures. Dans certaines cités industrielles les niveaux d’oxygène peuvent ne plus représenter que 12 à 14 % de l’air, se rapprochant dangereusement de la limite de 10 % absolument indispensable à la survie de l’être humain.

L’appauvrissement de la quantité d’oxygène se répercute à tous les niveaux de l’organisme. La pression en oxygène diminue aussi dans les poumons, le sang et les tissus musculaires. Cela se traduit immédiatement par une baisse du niveau des performances physiques. En ce qui concerne l’altitude, à 1.800 mètres, nos capacités sont réduites à 90 % de celles que nous avons en plaine et à 60 % à 5.000 mètres.

Des villes comme Mexico ou Denver cumulent les deux effets qui diminuent les niveaux d’oxygène: la pollution et l’altitude. Les personnes qui viennent d’arriver dans ces cités souffrent fréquemment du mal des montagnes. L’organisme finit cependant généralement par s’adapter à l’altitude.

Dans la cabine d’un avion, malgré la pressurisation de l’appareil, la pression correspond à celle que l’on relève à une altitude de 1.500 à 2.500 mètres. En d’autres termes, l’atmosphère à l’intérieur d’un avion est équivalente à celle que l’on retrouve au sommet d’une petite montagne. Là encore, la quantité d’oxygène disponible dans l’air est diminuée. La fatigue généralement attribuée au décalage horaire résulte en partie de la déficience en oxygène.

La pollution urbaine est également présente à l’intérieur des locaux. Il existe aussi des sources de pollution dans les bâtiments et les maisons comme les cuisinières à gaz, les nettoyants ménagers, le tabagisme ou le revêtement de surface. Le métabolisme humain, consommant de l’oxygène et rejetant du dioxyde de carbone, participe aussi à cette pollution. Ventiler fréquemment pour renouveler l’air à l’intérieur des bâtiments est donc absolument nécessaire, mais cela ne compensera pas l’oxygène manquant dans l’air...


«Les signes apparaissent de plus en plus.»

Tout cela fait partie des «signes des temps»

Et quelle en est la cause?

«Ainsi en va-t-il sur le globe terrestre et autour de lui, car toute la matière fine est empoisonnée.»

La cause fondamentale de tout cela est l’empoisonnement de la matière fine (l’au-delà) par les formes du mauvais vouloir des êtres humains, ce qui constitue un sujet en soi.

Et tout est dit.

Alors, observons bien les Signes, et, plus que jamais, Vigilance!


[1] Activité des entéaux ou êtres/entités de la Nature.

Ajouter un commentaire

Menu

Paramètres