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Sors de Babylone, Mon Peuple!

Publié le : 10/04/2020 10:21:09
Catégories : Sagesse Rss feed

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Sors de Babylone,

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Mon Peuple!



La puissante Exhortation «Sors de Babylone, Mon Peuple» se trouve dans l’Apocalypse de Jean et concerne tout particulièrement notre époque. Essayons de bien la comprendre, car il se pourrait qu’elle ait une importance vitale pour les êtres humains d’aujourd’hui.



La grande prostituée

«Baby alone in Babylone» dit une chanson. Oui, beaucoup d’êtres humains se trouvent, sans le savoir, comme d’innocents petits enfants, apparemment seuls dans Babylone.

Mais qu’est-ce donc que Babylone? Pour bien le comprendre, il importe de se {re}plonger dans l’Apocalypse de Jean.

Et, là, que voyons-nous? Une série d’impressionnantes Visions:

L’un des sept Anges ayant déversé l’une des sept Coupes de la Colère Divine, vient à Jean [1] et lui dit:

- “Viens, je vais Te montrer le Jugement sur la femme qui a établi son règne sur tous les pays. Tous les rois de la Terre lui étaient soumis et avaient bu à sa source à en être ivres et ne plus pouvoir rien discerner.”

Tous les «rois de la Terre» (rdt), ce sont ceux que l’on appelle, aujourd’hui, les «maîtres du monde» ou «mdm». Bien qu’ils se croient supérieurs, ils sont ivres de leurs mauvaises formes-pensées et ont perdu tout bon Sens.

Alors, en esprit, l’Ange conduit Jean dans le désert. Là, Jean voit une femme luxurieuse, gonflée et consciente, assise sur une bête écarlate, laquelle avait sept têtes et dix cornes, et sur ses fronts étaient écrits des noms de blasphèmes.

Qui est cette femme? Nous n’allons pas tarder à le savoir…

Qu’est-ce que la bête? Cela aussi va se préciser…

Les sept têtes pourraient se référer aux sept péchés capitaux, mais il est précisé plus loin qui ils sont. De même pour les dix cornes.

La femme était vêtue de façon superbe, la pourpre la recouvrait, telle une reine. Elle s’était elle-même rendue maîtresse de la Terre, grâce à l’aide de la bête.

La bête permet donc à la grande prostituée de dominer la Terre; cela est très important.

La femme s’était affublée d’or, de pierres précieuses et de perles pour que personne ne puisse voir à quel point elle était nue.

Au-delà du clinquant et de l’apparat, la nudité signifie ici le complet vide de son âme et la grande illusion de ses vaines et fallacieuses promesses…

La sébile d’or dans sa main était remplie à ras bord avec la malice, le mensonge et l’opprobre.

La malice, c’est le goût du mal, le mensonge, c’est l’arme des ténèbres, l’opprobre, c’est l’abjection.

Un nom s’étalait largement sur son front:

“BABYLONE, la mère de toutes les saletés et de toutes les abominations de la Terre”.

Nous voici donc fixés quant à savoir ce qu’est Babylone.

Quant à elle, elle était ivre de tout le sang qu’elle avait fait verser sur Terre, le sang des Témoins de JESUS.

Ceci se réfère aux persécutions faites, depuis la Venue de Jésus sur Terre, par les adeptes de Babylone, contre les vrais Chrétiens.

Jean fut effrayé en voyant la femme – et il y avait de quoi! - et il ne pouvait arriver à se rendre compte de qui elle était.

Mais l’Ange, consolateur, lui dit alors:

- «Pourquoi T’effrayes-Tu? Je veux T’éclaircir le secret que Te paraît être la femme, ainsi que la bête aux sept têtes et dix cornes qui la porte».

Voilà un Ange bien utile pour nous aussi. Il poursuit:

«La bête a été, mais maintenant n’est plus, mais elle reviendra de l’abîme».

C’est donc la Venue de Jésus qui l’a, momentanément chassée, mais, à la Fin des Temps, elle revient en force… L’Ange continue:

«Mais alors, elle devra aller à la damnation, mais lorsqu’il en adviendra ainsi pour elle, ceux qui ne sont pas écrits dans le Livre de la Vie s’étonneront tous et s’effrayeront. Ils trembleront lorsqu’ils remarqueront que la bête à laquelle ils se rattachent a été jetée dans la damnation éternelle. Comprends-Tu maintenant ce que Tu vois? La bête, que Tu as déjà vue combattre contre les troupes de Michel [2], est le prince de l’intellect, Lucifer. Mais la femme qui est portée par lui est la {fausse} sagesse de la Terre. Elle s’est vendue à la bête, afin que celle-ci l’éclaire avec toutes sortes de savoirs et l’aide à dominer le royaume terrestre.».

Il s’agit là, bien sûr, de savoirs de caractère intellectuel, essentiellement technologiques.

«Les têtes et les cornes sont les grands de la Terre, qui utilisent leur force pour combattre contre JESUS et contre DIEU le Tout-Puissant. En cela, ils sont d’accord, sans quoi ils aimeraient plutôt se déchirer.»

Qui sont les «grands de la Terre»? Sont-ce, par exemple, les fameux «illuminati», qui tirent les ficelles en coulisse? L’Apocalypse confirme ici qu’en dépit de leurs rivalités internes ils arrivent à se mettre d’accord pour s’opposer à Jésus et à Dieu. Ce sont, littéralement, des «antichrists».

Avec cet éclairage, la promotion de la notion de «laïcité», par exemple, dans son sens le plus restrictif, prend une toute autre résonance…, une rébellion contre Dieu!:

«Ils se révolteront contre le DIEU TRINITAIRE, et DIEU les laissera faire pendant une époque, selon leur gré».

Il semble bien que nous soyons maintenant en train de vivre cette triste époque, celle au sujet duquel il est dit que Dieu "laisse faire" et "Se voile la Face"…

«Mais après cela s’élèvera Celui Qui est la Volonté de DIEU et IL appellera à Lui Ses Appelés et Ses Elus.»

Il est donc ici question d’un haut Personnage appelé «La Volonté de Dieu», Qui surgit tout à coup, apparemment sur Terre, et Qui appelle les Siens pour servir la Volonté de Dieu Qu’Il est Lui-même…

«Il poussera la femme à bas de la bête, de manière que tous ceux qui veulent combattre contre DIEU soient obligés de piétiner la femme.»

Il renverse donc la grande prostituée, qui est ensuite piétinée par ceux-là même qui l’avaient mise en place… C’est par ce processus que les ténèbres sont contraintes de se détruire elles-mêmes…

«Tout le faste de la femme tombera en lambeaux, son grand savoir imaginaire, son intelligence illusoire, seront arrachés d’elle, de telle sorte qu’aux yeux des êtres humains, elle soit piétinée sur le sol, gisant dans toute sa nudité. Mais il ligotera la bête.»

La Volonté de Dieu ligote donc la bête, ainsi que cela est précisé plus loin, pour une durée de mille ans.

Puis, un autre Ange descend d’en haut en planant, et la Lumière émanant de lui éclaire la Terre. à haute voix Il crie:

- «Voyez la grande BABYLONE, le règne de l’intellect humain et du savoir des êtres humains sur Terre, elle est tombée!».

Il est clairement précisé ici que «Babylone» signifie: «règne de {la domination de} l’intellect humain».

L’intellect humain!



La bête et la bête

Nous avons déjà vu que Lucifer, en personne - l’Adversaire de Dieu -, est, en dernière analyse, la bête de l’Apocalypse. Mais, pour atteindre son but – le complet assujettissement de l’être humain à sa botte -, il utilise une autre bête: la bête humaine

L’Enseignement Universel nous permet d’en prendre conscience.

A ce sujet, il faut, tout d’abord, devenir conscients du fait que l'être humain s'est lui-même chargé de nombreux et lourds fardeaux, apparaissant ensuite comme autant d'entraves empêchant le libre déploiement de son esprit.

L’esprit humain, en effet, de lui-même, aspire vers le Haut, à partir du moment où il n'est pas retenu, c’est-à-dire enchaîné, lié à la Terre par une chose quelconque, quelle que soit cette chose.

A cet égard, le mal absolu demeure, encore et toujours, l'intellect humain unilatéralement cultivé, qui, artificiellement gonflé d'importance, plastronne et se prélasse sur un trône de souverain, qui ne lui revient absolument pas, lui qui n’est que le serviteur.

L’intellect est pareil à une bête, une bête qui rend d'excellents services lorsqu'elle est bien maîtrisée, mais agit de façon complètement nuisible, en toutes circonstances, aussitôt que la liberté lui en est laissée.

Il est même semblable à une bête de proie, qui, d'abord, demeure familière, et donne de la joie à son maître qui la soigne et lui donne à manger, mais qui, lorsqu’elle a atteint une certaine taille bien déterminée, devient pourtant dangereuse, même pour celui qui l'a d'abord élevée et soignée, parce qu’alors le rapport de force s’inverse… La bête devient plus vigoureuse que son {ex-}maître…

Il suffit de vous imaginer, chez vous, avec votre propre animal domestique… Votre chien ou votre chat, que vous avez plaisir à caresser et qui vous est bien gentiment soumis, imaginez seulement qu’il devienne tout à coup notablement plus grand que vous… Que va-t-il se passer? Votre petit minou, par exemple, qui est, par nature – ne l’oubliez pas -, un félin, donc un fauve, va se comporter avec vous comme il le fait avec une petite souris… Il va vous sembler brutalement infiniment moins sympathique…

Car la bête devient alors votre tyran, à vous qui, jusque là, l’aviez tendrement soignée et étiez, jusqu’alors, demeuré son maître. Maintenant, c’est vous qui devez la craindre, car c’est elle qui est devenue votre maître. C’est comme dans la chanson: «Je ne suis plus maître chez moi, c’est mon chien qui fait la loi…».

En ce cas, le «chez moi», c’est tout ce qui est hors de la cage… La bête a grandi et, imprudemment, vous l’avez laissé sortir de la cage; désormais, elle ne voudra plus jamais y retourner et n’aurez plus ni l’autorité ni la force pour l’y contraindre, parce que la bête est devenue plus forte que vous…

Vous avez alors complètement perdu votre propre liberté de mouvement, celle dont vous jouissiez avant de la laisser sortir, lorsque la bête était encore dans sa cage. Une fois sortie de sa cage, la bête, dont vous n’aviez pas appris à vous méfier, vous domine soudain dans le rayon d'action devenu illimité de sa grande mobilité!

Transposez maintenant simplement ainsi: «bête» = «intellect» et vous aurez tout compris!

Car c’est, en effet, exactement ainsi que ça se passe pour tout être humain vis-à-vis de son propre intellect. De la même manière que l’animal imprudemment détaché et libéré, l’intellect n’est pas demeuré cantonné dans la résidence qui lui avait été attribuée, c’est-à-dire le corps de l’être humain concerné, mais il s’est gagné, par la force, une totale liberté d’action, laquelle, sur la Terre, est absolument sans limites, puisque l’on peut facilement observer que c’est, à peu près l'humanité tout entière qui, de gré ou de force, a dû se soumettre au vouloir de la bête.

Le pire est que cela s’est fait sans qu’elle s’en rende compte!

Désormais, nulle part l’humanité n'est en sécurité face à cette bête de l’intellect, qui, partout guette, telle un danger, toujours prête à utiliser ses griffes acérées à l’encontre d’un récalcitrant ou à le mordre jusqu’à la mort, si l’être humain n'est pas disposé à se soumettre inconditionnellement à elle!

Cela se manifeste, en premier lieu, sur un plan individuel, c’est-à-dire pour l’être humain vis-à-vis de son propre intellect, mais, aussi, bien sûr, en deuxième lieu, sur un plan collectif, donc politique. En ce cas, que la bête collective soit une dictature déclarée – ainsi que cela se passe ou s’est passé en certains pays comme l’ex-U.R.S.S. – ou que cela se passe dans une démocratie pouvant, par rapport à l’individu ne reconnaissant pas son idéologie, être aussi qualifiée de dictatoriale ne change pas grand chose à l’affaire… Car c'est ainsi que cela se passe, aujourd'hui, sur la Terre entière! Tous les êtres humains sont plus ou moins contraints par le «système» de se soumettre à l’intellect et à ses idéologies intellectuelles, qu’elles soient «de droite» ou «de gauche» ou même «du centre»…

Tel un apprenti sorcier l’être humain, ouvrant la boîte de Pandore, a libéré la bête, cette bête qu’il avait, tout d'abord, tendrement soignée et cajolée, et le fauve a acquis une si monstrueuse force qu’aucun être humain ne peut plus de nouveau la contraindre de sorte qu’elle se cantonne à un service profitable.

Et c'est ainsi qu'elle provoque maintenant, en nous et autour de nous, sur toute la planète, une affligeante dévastation, dans laquelle nous nous trouvons déjà grandement, et qui va se répandre encore bien plus gravement, parce que nous sommes devenus totalement incapables d'imposer un frein à la bête!

Désormais, c’est de nombreux êtres humains qui vont s’effondrer, en tant que ses victimes, alors qu'ils auraient facilement pu la commander, si, toutefois, ils l'avaient convenablement éduquée, lorsque c’était encore le moment pour le faire.

Car ils ne savent pas où rechercher l’ennemi! Ils le cherchent à l’extérieur d’eux-mêmes, alors qu’il est tapi en eux-mêmes! Certes, les systèmes sociaux et politiques sont tous, quelle qu’en soit leur couleur, même si c’est à des degrés divers, profondément dominés par la bête, mais le pire ennemi de l’être humain est déjà en lui-même, et il doit déjà se libérer de celui-là avant de s’attaquer au monstre extérieur.

Oui, cette même force que la bête de l’intellect utilise, à présent, pour accomplir ses dévastations sur toute la planète Terre et même au-delà aurait dû, sous la clairvoyante Guidance de notre esprit, être salutairement employée à notre propre embellissement et à notre élévation, ainsi qu’à celui de notre cadre de vie, pour la Paix et la Joie de tous nos compatriotes, les autres Terriens.

Au lieu des véritables saccages qui, à perte de vue, s’étendent maintenant sous nos yeux, et dont nous pouvons maintenant avoir une vision globale grâce aux images prises par les satellites, s'étendraient devant nous, partout, des jardins fleuris et ensoleillés, invitant les paisibles habitants de la Terre à une bienfaisante Activité, en un joyeux Labeur empli de gratitude envers le Créateur de Tout, Qui nous a tout donné!

Alors, devant cet affligeant constat, que faire? Qui va nous apporter le Salut? Qui va dompter la bête? Car il s’agit seulement de la dompter et non de l’anéantir, car, dans la matière grossière, l’intellect est utile et même indispensable et c’était la Volonté du Grand Créateur qu’il naisse, se développe jusqu’à un stade élevé et soit utilisé de la bonne manière…

Au point où nous en sommes arrivés, beaucoup d’êtres humains, conscients du problème mais considérant que Dieu est «trop haut» ou «trop loin», s’imaginent encore que les êtres humains eux-mêmes – du moins une partie d’entre eux - pourraient encore renverser la tendance…

Pourtant, depuis longtemps déjà, c’est-à-dire depuis près d’un siècle, les choses en sont arrivées si loin que nous succomberions tous devant ce monstre élevé par nous-mêmes, si… si ne survenait pas bientôt une Intervention … Divine.

Oui, c’est le Grand Créateur Lui-même Qui, bientôt, va intervenir et imposer une limite à la bête, va la dépouiller de sa puissance et la reconduire dans les voies où elle ne peut rien faire d’autre que d’agir profitablement! C’est ce que nous dit l’Apocalypse.

Mais, avant que cela n’arrive, nous devons encore vivre d'expérience tout le malheur que nous avons ainsi provoqué, nous devons voir et souffrir les terribles conséquences que la domination de l’intellect apporte et entraîne avec elle, de sorte que nous soyons, grâce à l’écœurement en résultant, complètement guéris d'une action et d'une aspiration aussi fausses que celle que, depuis des millénaires, nous avons cultivée, afin qu'à l'avenir aucun désir de cette sorte ne puisse plus jamais resurgir en nous!

Il est bien connu que «Pour punir le mal Dieu n’a qu’a le laisser faire…». C'est donc bien ainsi que Dieu nous «punit» [3] en nous accordant tout simplement l'accomplissement de tout ce que nous avons nous-même tenté d'imposer dans Sa Création, par notre obstination à l'encontre de Ses Commandements. Il nous laisse nous confronter à la bête, le monstre créé par nous-mêmes…

Car c’est, en effet, d’une incroyable obstination dont, depuis des millénaires, les êtres humains ont fait preuve après que, non seulement ils aient largement ou complètement ignoré, sans les considérer, tous les Prophètes – c’est-à-dire les Porteurs d'Avertissements – et leurs messages, eux qui étaient, par Amour, envoyés en provenance de la Lumière, mais qu'en plus, en une rage aveugle, ils les aient poursuivis de leur haine et finalement assassinés. Tout simplement parce qu'ils étaient dérangeants pour leurs plans, alors qu'eux seuls auraient réellement pu les secourir.

Sous l'emprise de cette faute, qui est la nôtre, nous nous rendons aussi impossible le fait que l'esprit en nous puisse se relâcher, afin de se déployer, peu à peu, et de recevoir la Liaison avec son propre Genre, donc avec le Plan Spirituel, dans le Rayonnement de la Lumière. Car une telle Liaison avec le Haut ne peut s’effectuer que dans la plus grande détente

La domination de l'intellect ne l'a jamais admis, car, ainsi, sa fausse gloire, artificiellement gonflée, aurait ainsi, telle un bonhomme de neige sous le rayon du Soleil, bien vite fondu sur elle-même.

L’intellect aurait forcément été déchu de son trône usurpé et aurait, de nouveau, été contraint de servir, au lieu de jouer au seigneur.

Voilà le pourquoi de cette résistance acharnée, qui, lorsque son prestige pouvait être mis en danger d'une façon quelconque, ne reculait devant rien, pas même devant le meurtre. Car derrière la domination de l’intellect – c’est-à-dire la bête - en chaque être humain se tient toujours l’autre bête, la grande bête de l’Apocalypse, qui se sert de celle de l’intellect pour arriver à ses fins: Lucifer!

Mais même lorsque la Vérité nous est ainsi exposée, aujourd'hui encore, nous sommes incapables de penser autrement qu’en fonction de la bête, et tout ce que nous entendons, tout ce qui nous est annoncé, nous le comprimons en des formes terrestres bien connues de nous, et, de ce fait, nous faisons naître en nous de fausses représentations, qui ne correspondent pas à la réalité, ni ne s'en approchent; car la bête que nous avons soignée et élevée, sans nous la soumettre, est au-dessus de nous et nous opprime!

Elle est, en effet, toujours là et ne lâche pas facilement prise, et comme elle s'est placée entre les êtres humains et le Spirituel, pour les en séparer, elle ne laisse plus rien passer de ce qui est plus haut qu’elle, la bête ambitieuse, l’intellect demeurant terrestre. Tel un chatoyant séducteur, il est, si l’être humain ne réagit pas avec la plus extrême vigueur et ne s’arrache pas à sa mortelle étreinte avec l’énergie du désespoir, dans la main de Lucifer, le plus dangereux et le plus sûr instrument de sa perte, en ce cas inéluctable.

Rendons-nous-en libres à présent, élevons-nous au-dessus de la bête! Sinon nous ne pourrons jamais rien saisir des Valeurs qui nous sont offertes en provenance de la Lumière, et nous ne pourrons pas non plus les mettre à profit pour nous et pour tous.

Redevenons tels que l'étaient les êtres humains terrestres d'autrefois, avant que la présomption de l'intellect ne les eût enserrés et rabaissés sur le terrain qui, dans leur étroitesse, leur était devenu approprié.

L’Apocalypse définit plus précisément ce qu’est Babylone.

Dans la vision de Jean le Baptiste:

Elle était une collection de toutes les pensées impures, de toutes les vantardises, de tous les miroitements de soi-même, de toutes les prétentions et entêtements du toujours-mieux-savoir et du mensonge.

Donc une immense égrégore de formes-pensées nées de la domination de l’intellect et entourant la Terre entière!

Elle a séduit tous les esprits humains, les grands comme les petits. Elle a enivré les rois, pour qu’ils croient à leur propre savoir et se croient semblables à DIEU. Ce sont les soi-disant «maîtres du monde»!

Elle a rendu les marchands calculateurs et rusés au point que la fidélité et la justice se sont éloignées d’eux. Elle a fait siens tous les peuples.

Ce sont, en particulier, aujourd’hui, les transnationales mondialistes.

Arrive alors l’Avertissement capital, celui qui donne sa raison d’être au présent écrit, celui qui, à la fois, procure de l’Espoir mais donne aussi une sévère mise en garde, exigeant des serviteurs véritables qu’ils se tiennent loin de toute compromission:

Alors, du Haut, une autre voix crie:

- «Sors de Babylone, Mon Peuple, éloigne-Toi d’elle, Toi qui es la Troupe de mes Fidèles! Tu n’as rien à faire avec elle, afin de ne pas devenir impur par un quelconque contact. Ses péchés sont connus sous tous les cieux et DIEU n’oublie pas son sacrilège. Cède-lui le pas, car quiconque, dans le Jugement, sera trouvé aux côtés du malfaiteur, sera obligé d’être emmené avec lui.».

Claires Paroles s’adressant à ceux qui font encore partie du Peuple de Dieu, le Peuple de Ses Fidèles. Rien que le contact avec Babylone est une source de souillure et celui qui se trouve à côté d’elle a forcément, ne serait-ce qu’un tant soit peu, part à ses mauvaises œuvres… De ce fait, la Répercussion finale risque fort de l’atteindre aussi…

La raison pour cela réside dans le fait que lorsqu’un être humain émet une pensée, cette pensée ressentie par lui, prend aussitôt, grâce à la Force Créatrice la traversant, forme dans l’Au-delà, une forme qui correspond logiquement au contenu de la pensée. Cette forme va constamment demeurer, par un cordon de liaison, reliée à son auteur, ce qui ne l’empêchera pas d’être momentanément détournée et éloignée de lui par la Force d'Attraction du Genre Semblable agissant dans l’Au-delà comme dans l’En-deçà. De ce fait, elle va être propulsée à travers l’Univers par les Courants pulsant constamment à travers lui, lesquels Courants, comme tout dans la Création, se meuvent en suivant un cycle ayant la forme d'un œuf.

Mais, un jour, arrive le temps où les pensées, devenues vie et réalité dans l’Au-delà, renforcées par les genres semblables attirés en chemin, vont, telles un boomerang, refluer vers leur origine, c’est-à-dire leur point de départ, puisque, malgré leur périple, elles sont toujours demeurées en liaison avec lui. Et, lorsque le retour a lieu, c’est le déchargement de la forme-pensée considérée, le déclenchement, la répercussion.

Lors de la dernière Répercussion, clôturant tous les cycles, tout revient donc à sa source première et tous ceux qui, si peu que ce soit, sont encore liés aux mauvaises œuvres de Babylone peuvent, de ce fait, à des degrés divers, en être aussi atteints.

Bien sûr, l'Anéantissement à attendre atteint donc, tout d’abord, ceux qui, par leurs pensées et ressentis mauvais, furent, de longue date, les auteurs et les continuels pourvoyeurs de ces mauvaises formes, donc les matérialistes, que ceux-là soit «de droite» (capitalistes), «de gauche» (communistes) ou «de fait» (jouisseurs hédonistes de tous bords et en tous genres).

Mais, ensuite, la violence des répercussions refluantes atteint aussi des cercles d’êtres humains encore plus étendus, et attrape aussi, au passage, les êtres humains de genres seulement approximativement semblables aux «matérialistes crasseux». C’est là, selon les Lois, quelque chose d'absolument inévitable. D’où le précieux et bienveillant Avertissement:

«{Si Tu ne veux pas être aussi atteint, alors un bon Conseil:} éloigne-Toi de Babylone, Mon Peuple!»

Et, au sujet de Babylone, la voix crie, encore une fois, à la troupe armée:

- «Saisissez-la et faites avec elle comme elle a fait! Faites-lui reconnaître que les fruits sont pareils à la semence. Mais là où un grain de semence a été posé, plusieurs fruits ont poussé. Aussi faut-il recevoir plusieurs fois ce qu’elle a semé. Faites-lui éprouver les tourments et la souffrance; car elle a apporté tourments et souffrance à ceux qui lui étaient attachés.

Elle est devenue le portrait de la Terre pécheresse, qui doit être détruite dans le Jugement. Elle est encore fière et se croit la reine, et ne remarque pas combien elle est devenue misérable et découverte. Mais ses fléaux viendront au jour: Famine, Souffrance et Mort la toucheront particulièrement, car DIEU le SEIGNEUR est fort, ainsi qu’un Juge équitable!

Mais ceux qui y étaient attachés, les rois et les grands, les marchands et toutes les âmes faussement dirigées des êtres humains, verront, remplis d’épouvante, comment est jugée la femme, la science des êtres humains. Et ils hurleront et pleureront; car ils reconnaîtront alors que tout ce qu’ils ont reçu de la femme n’était rien du tout. Oui, moins que rien; car leurs âmes seront livrées à la corruption. Mais ils ne verront même pas qu’ils sont impliqués dans le même Jugement, donc qu’ils ont quitté et blasphémé DIEU, et ont été attachés à la femme.»

Et un Ange lumineux élève une grosse pierre et la précipite dans la mer, qui rejaillit hautement. Après cela, la pierre sombre et disparaît à la vue.

Quelle est cette «grosse pierre»? Une comète? Un astéroïde?

En tous cas, c’est cette «grosse pierre», semblable à une meule, qui amène la fin terrestre de Babylone:

Alors l’Ange crie:

- “Regarde, ainsi sera la fin de Babylone, la science humaine pleine de suffisance! D’un coup, elle sera récusée et ne sera plus. Le bruit malpropre qu’elle faisait deviendra muet, muet le son creux qui résonnait d’elle. La fausse lumière qui était la sienne sera éteinte. Et avec elle disparaîtront tous ceux qui lui sont attachés!".

Ces Paroles sont claires et limpides et se passent donc de commentaires. C’est donc ainsi que Babylone va disparaître: elle aussi est jetée dans la «mer». La mer signifie, en ce cas, les ténèbres. Cela veut dire qu’elle est {re}jetée hors de la Création.

Naturellement, les vrais Serviteurs de Dieu s’en réjouissent grandement:

D’En-Haut résonnent les voix d’une grande troupe:

- «ALLELUIA! SALUT et LOUANGE, HONNEUR et ADORATION soient rendus à DIEU, notre SEIGNEUR!

Equitables et justes sont Ses Jugements. IL a détruit le monde perverti par la fausse science humaine. Il l’a fait châtier avec ce avec quoi il avait péché!»

Et, comme d’un deuxième chœur, arrive la réponse:

- «ALLELUIA! Maintenant et pour l’ETERNITE, l’Adoration des SIENS montera vers DIEU comme la fumée du sacrifice!»

Puis Jean voit comment les vingt-quatre Anciens avec les quatre Animaux tombent en Adoration devant le Trône et la Volonté de DIEU Qui y siége.

Bienheureux, ils crient:

“AMEN! ALLELUIA!”.

Puis Celui qui se tient sur le Trône parle:

- «Louez DIEU le SEIGNEUR, vous, Ses Serviteurs et tous ceux qui le craignent, petits et grands!».

Alors les Serviteurs élus de DIEU répondent et leurs voix retentissent comme les eaux bruissantes et le tonnerre grondant:

- «ALLELUIA! La Volonté de DIEU, le TOUT-PUISSANT a pris possession de son Royaume. Notre SEIGNEUR est le Roi de toutes les Créations, le SEIGNEUR de tous les Mondes!

Nous sommes réjouis et bienheureux de pouvoir Le servir! Nous voulons lui faire honneur, Son ère solennelle est venue à nous, le nouveau Règne va naître sur la Terre. Il s’étendra délicieusement. Devront être vrais et justes tous ceux qui aideront à le construire. Alors, de LUI, émanera un éclat qui rayonnera jusqu’au Ciel!».

Et un Ange vient à Jean et lui dit:

- «Ecris! Bienheureux sont ceux qui sont appelés avec DIEU à la Nouvelle Alliance!».

Et c’est donc ainsi, grâce à Jean, que le scénario nous est connu. Après la destruction de la bête et de la grande prostituée, qui était assise sur elle, arrive enfin le Royaume de Dieu sur la Terre…

* * * * * * *


Malheureusement, nous n’en sommes pas encore là. Pour l’heure nous sommes encore sous le règne de la bête et de la grande prostituée.

Et la grande prostituée fait maintenant tous ses efforts pour apposer et imposer la marque de la bête au front et/ou à la main de tous ceux qui ne lui résistent pas suffisamment.

Cette marque est la croix tordue en X. Ce n’est déjà pas pour rien que «film X» soit, par exemple, synonyme de film immoral et pornographique, car les ténèbres sont toujours tenues de s’exprimer dans un genre qui n’appartient qu’à elles!


Le Nombre de la bête

La deuxième bête a également été vue par Jean.

Il nous le raconte, toujours dans l’Apocalypse:

«Puis je vis monter de la Terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon.».

Les deux cornes de la bête sont, notamment les deux mots: «Die Sünde» [«Le péché»]. Ces deux mots, selon les Lois des Nombres, vibrent dans le Nombre 666.

«Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la Terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie.»

Comme déjà vu, la première bête n’est rien d’autre que Lucifer.

«Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la Terre, à la vue des êtres humains.»

Les prodiges accomplis par la science intellectuelle humaine sont impressionnants.

«Et elle séduisait les habitants de la Terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la Terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait.»

La bête de l’intellect pousse les êtres humains à l’idolâtrie envers la bête luciférienne.

«Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués.»

Une image qui parle... Il est vraisemblable que ce verset se réfère aux médias corrompus en général et à la télévision en particulier.

«Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom

Comme nous allons le voir ci-dessous, cette prophétie est en train de s’accomplir…

«C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est le Nombre d'un homme, et son nombre est six cent soixante-six.» (L’Apocalypse, Chapitre XIII 6 Versets 11-18)

L’homme en question est Johannes der Taüfer, soit Jean le Baptiste, dont le nom, en langue allemande, vibre aussi dans le Nombre 666.


La micro-puce électronique sous-cutanée

De nombreux livres et sites Internet annoncent l’arrivée de cette micropuce et dénoncent ses méfaits pouvant faire partie d’un immense «complot mondial», aussi appelé «conspiration mondiale», initiée par les «rois de la Terre».

(Voir, à la fin de cette étude, quelques adresses utiles [4] pour une documentation fournie sur le sujet.)

Y aurait-il une relation entre la marque de la bête et cette micro-puce sous-cutanée devant, elle aussi, comme par hasard, être implantée au front ou à la main [5]?

Il est vraisemblable que la marque de la bête ne se limite pas à la puce. Il est clair, en effet, avec la marque de la bête, qu'il s'agit, avant tout, d'un marquage fin-matériel..., voire même spirituel... des «êtres humains» concernés, indiquant qu’ils servent non pas Dieu mais Lucifer…

De ceux-là il en existait déjà, bien évidemment, avant l’invention de micro-puce…

De plus, il n’est, pour l’heure, pas précisé que la puce a la forme d’un X. Mais la relation entre la micro-puce et la marque de la bête est, sur le plan symbolique – et donc aussi effectif dans le monde réel, car la symbolique est, sur le plan du destin, déclenchante - pour le moins, évidente.

L’Apocalypse parle aussi d’une Marque lumineuse faite au front:

«Attendez que nous ayons marqué au front les Serviteurs de notre Dieu.».

Cette Marque lumineuse est une Croix, la Croix de la Vérité +, à laquelle s’oppose la croix déviée, croix en X, celle de Lucifer.

De quel angle est la déviation? Possiblement du même angle que celui avec lequel la Terre a basculé par rapport à son axe initial, au cours de l’une des grandes glaciations du passé [6]

Et que la marque ténébreuse (la croix tordue en X) se fasse aussi aux mêmes endroits que la Marque lumineuse, rien que de très logique, car il est bien connu que les ténèbres singent toujours la Lumière.

Il y a maintenant de très bonnes raisons de prendre très au sérieux la menace d'injection de la micro-puce sous-cutanée aux êtres humains, car le rapport entre le marquage avec la puce et le marquage avec le signe de la bête est particulièrement évident. Même si l’un n’équivaut pas à l’autre, il est clair qu’une bonne part des «micro-pucés» volontaires portent déjà ou porteront aussi la marque de la bête…

L’on peut donc considérer, sans grand risque d’erreur, que la micro-puce sous-cutanée, donc injectée dans le corps humain au front ou à la main, devient, pour ses porteurs volontaires ou consentants, le symbole terrestre d’appartenance à la bête.

Il est donc très prudent de se garder d'affirmer, d’emblée, comme le font certains, qu'il n'y aurait aucun rapport entre les deux choses, car tout (les coïncidences sont, tout de même, assez impressionnantes!) plaide en faveur du contraire, de sorte que nous soyons enclins à voir dans la puce, pour le moins, le symbole terrestre de la marque de la bête, lequel symbole risque, en outre, fort, pour beaucoup si ce n'est tous, de coïncider avec la marque fin-matérielle. Donc, une affaire à considérer avec beaucoup de gravité... Car la question corollaire est inévitablement celle-ci: Un être réellement lumineux peut-il consentir à se laisser ainsi "puce{le}r", voire même, comme l'ont déjà fait certains, à se porter volontaires pour cela?

Certains ne veulent pas y penser et disent:

«Je ne m’occupe pas du tout d’une puce électronique qui, implantée sur moi, permettrait de me surveiller».

Ou même: «Je veux bien que «Big brother» sache où et quand je me déplace, où et quand je fais mes achats, quels en sont la nature et les montants, quelles sont mes caractéristiques psychiques et mes mensurations corporelles, quels sont mes goûts et mes couleurs, les livres que je lis, les gens et les lieux que je fréquente, ce que je vote aux élections et ce que dis au curé à confesse, rien de cela ne me dérange.».

Alors, en réponse à cela, on peut leur demander:

«Est-ce à dire que vous vous laisserez faire, lorsque l’on voudra vous la mettre?».

«Et aussi (après avoir accepté sans broncher, en tant qu'utiles pré-conditionnements, les vaccinations obligatoires, l'école exclusivement intellectuelle obligatoire, l’embrigadement et le conditionnement militaire ou policier, la médecine allopathique de masse, l'endoctrinement télévisuel, la publicité omniprésente, et tout le reste...) que vous la laissez mettre à vos enfants?».

Certains disent encore:

«Je m’occupe beaucoup plus de ne pas avoir de marque sur mon âme. Car c’est celle-là qui va me suivre à ma mort».

Ceux-là ont, là, bien raison.

La question est juste de savoir si quelqu'un qui ne défend déjà pas âprement son corps face aux manœuvres des ténèbres, va ensuite avoir la force de défendre son âme, lorsqu'elle va être attaquée à son tour...

Vous qui ne voyez ici nul mal et nulle menace, ou vous qui pensez que le compromis est inévitable, croyez-vous que les ténèbres en veulent seulement à votre corps ou bien seulement à votre âme, ou, éventuellement, que vous pouvez marchander en disant: "Si je vous abandonne mon corps, peut-être me laisserez vous mon âme?".

Certains pensent aussi:

«D’ailleurs les êtres humains ne se laisseront pas faire.».

Ceux-là, ils rêvent… Il n’est que de voir ce qui s’est passé dans les camps de concentration, pendant la dernière guerre mondiale, la plupart des êtres humains n’ont nullement résisté et ne se sont pas battus pour défendre chèrement leurs vies, lorsque l’on a voulu les faire entrer dans les chambres à gaz, antichambres des fours crématoires…

Certains croient que:

«Pour toute technologie il existe toujours une manière de contourner le système.».

Avec une puce dans le corps, sauf de se l’arracher violemment, c’est, toutefois, extrêmement difficile…, pour ne pas dire impossible

D’autres disent: «C’est déjà pareil avec la carte bleue!» (carte bancaire).

A cela et à ceux-là l’on peut répondre:

"Sauf que la carte bleue n'est pas en vous. C'est encore malgré tout vous qui vous en servez avant que ce ne soit elle qui ne serve de vous. Vous pouvez être à l'autre bout de la Terre sans elle, et demeurez, vis-à-vis d'elle, libre de vos mouvements".

La très grosse différence est que la puce "interne" prend possession de votre corps. C'est surtout la marque symbolique, dans l'acceptation volontaire, de la prise de contrôle - bien plus grave, mais moins visible - de votre esprit.

La question est alors celle-ci:

Dans quelle mesure un esprit peut-il être encore libre si son corps gros-matériel est - surtout si c'est volontairement accepté, voire même choisi ou désiré - plus ou moins asservi à un contrôle électronique interne?

Sans parler du fait que la puce peut aussi servir à envoyer aux récalcitrants quelques petits signaux ou même décharges bien placés, afin de les rendre bien dociles, tout comme, avec la technologie moderne, l'on fait déjà, maintenant, avec les chiens qui, selon le point de vue de leurs maîtres, aboient trop fort, en leur envoyant des ultra-sons désagréables, grâce à un collier-récepteur qu'ils portent autour du cou...

Songeons déjà, rien que sur le plan symbolique, si un être humain «pucé» passe à la caisse du super-marché et que son compte est à découvert, ce n'est plus seulement sa carte qui est refusée, c'est, en quelque sorte, pour ainsi dire ... lui-même!




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